Menu

Botanicum, un livre pour les amoureux des plantes

A la maison, nous collectionnons les petites plantes vertes. Je n’ai pas particulièrement la main verte, mais je pense avoir trouvé une catégorie de plantes qui semblent apprécier notre nid. J’ai nommé les succulentes et les cactus. La verdure est vraiment importante chez nous. Il y a peu de décoration, mais plusieurs plantes grasses habillent nos étagères et nos plans de travail. C’est le phénomène Urban jungle. Le besoin de faire entrer la nature dans notre appartement de centre-ville. J’ai toujours aimé les fleurs. Il y a toujours un joli bouquet de tulipes blanches sur la table, à mon anniversaire (mes fleurs préférées avec les anémones blanches). Ma maman m’offre toujours du muguet de son jardin en mai. L’hiver, nous avons toujours un bouquet d’eucalyptus dans notre salon. A Noël, nous commandons toujours du houx à notre fleuriste, etc. Les fleurs et les plantes rythment notre vie. Cette année, je me suis offert un cadeau d’anniversaire un peu en avance : le très joli livre Botanicum.

Botanicum est constitué comme un herbier

Sa grande taille a tout de suite attiré mon regard dans les rayons de la librairie. Sa couverture, un brin rétro, a su me convaincre, avant même d’avoir feuilleté les 95 pages de ce très beau livre. Botanicum est constitué comme un herbier, avec de magnifiques planches d’illustrations de Katie Scott. Les explications, très documentées, sont signées par Kathy Willis.

Un livre pour les enfants et les plus grands

Apparemment destiné aux enfants, le livre Botanicum s’adresse également aux passionnées de botanique. Il est d’ailleurs initialement écrit en anglais, en collaboration avec Kew Gardens (un célèbre centre de botanique et de mycologie). Il est composé de 7 galeries : Premières plantes (Galerie 1), Arbres (Galerie 2), Palmiers et cycadophytes (Galerie 3), Plantes herbacées (Galerie 4), Graminées, quenouilles, cypéracées et joncs (Galerie 5), Orchidées et broméliacées (Galerie 6), S’adapter à l’environnement (Galerie 7). Une véritable visite guidée, au sein d’un magnifique livre illustré !

J’espère que ce grand jardin de papier vous plaira autant qu’il me plaît (même si je n’ai pas fini de le lire ^^).

Bisettes !

Laver ses cheveux avec un shampoing solide

Comme je vous le disais, nous avons multiplié les recherches pour trouver des solutions plus durables et écologiques à mettre en place à la maison. Nous recherchons toujours des solutions qui nous permettront également de ne pas perdre de temps (et bien oui, le temps est précieux pour tout le monde), et surtout de ne pas perdre en qualité de vie. Nous essayons de privilégier des produits qui pourront s’inscrire dans une démarche écologique lorsque cela est possible (par leur conception et/ou par leur utilisation). Lors du diagnostique de notre salle de bain, il ressortait qu’un flacon de shampoing était régulièrement consommé puis recyclé. J’achetais déjà un shampoing écologique, qui avait tendance à assécher les cheveux. Celui-ci me contraignait à utiliser un soin ou une huile végétale biologique après chaque shampoing, puis à faire un masque de temps en temps. J’avais lu un article sur la composition des shampoings conventionnels et leurs compositions m’avaient vraiment fait peur (les principaux tensioactifs très irritants que je ne souhaite plus utiliser : Sodium Lauryl Sulfate, Sodium Laureth Sulfate, Ammonium Lauryl Sulfate, Sodium Lauryl Sulfoacetate, Sodium Myreth Sulfate).

Mes débuts avec les shampoings solides

J’ai d’abord découvert le shampoing solide pour cheveux normaux, de la marque Secrets de Provence, à la Biocoop de Rennes (Quartier Cleunay). La composition était simple et 100% naturelle (de l’huile végétale biologique, de l’argile naturelle et du beurre de karité). Monsieur l’amoureux et moi l’avons utilisé et trouvé satisfaisant au début. Rapidement, j’ai trouvé que mes pointes s’asséchaient alors que les cheveux courts de Monsieur n’y voyaient rien à redire. Je compensais avec un peu d’huile de jojoba qui fait toujours office de couteau suisse dans notre salle de bain. Tout allait bien jusqu’à ce que mon chemin croise celui du shampoing solide démêlant Sweetie de la marque Pachamamaï (totalement dépourvu d’emballage) au magasin day by day de Rennes (Quartier Saint Hélier). Mes cheveux mi-longs n’ont jamais été aussi beaux et doux ! Certains l’utilisent d’ailleurs comme après-shampoing.

Comment utiliser un shampoing solide ?

Le démêlage préalable des cheveux est fortement recommandé. L’utilisation est aussi simple qu’avec un savon pour le corps ou le visage. Il suffit de faire mousser le shampoing solide entre ses mains et de masser le cuir chevelu humidifié avec la paume des mains. Il faut le faire mousser plusieurs fois afin de déposer suffisamment de shampoing sur les racines des cheveux et rincer. Un seul lavage suffit.

Comment conserver un shampoing solide ?

Je laisse sécher mon shampoing solide sur un porte savon en porcelaine, à portée de main. Nous l’avions emmené dans notre valise à Venise. C’était tellement pratique ! Aucun risque que le flacon ne se déverse dans notre valise et c’est un contenant liquide en moins pour le passage des douanes lorsque l’on prend l’avion. J’avais acheté une petite boîte de transport (fabriquée en matériau bio-sourcé à base d’amidon de maïs, recyclable et compostable) adaptée à la Biocoop. Cependant, un gant de toilette sec en coton fait très bien l’affaire.

Pourquoi utiliser un shampoing solide ?

Tous les shampoings solides ne se valent pas. Par exemple, les shampoings Lush ont très mauvaise réputation sur la blogosphère pour leurs compositions. Je ne les ai jamais essayé mais je lis régulièrement des articles qui vont dans ce sens. Un shampoing solide sain et écologique aura un réel impact sur l’environnement. Exit les flacons en plastique à recycler, les substances chimiques nocives pour la santé et l’environnement. Leur prix peut être un frein pour certains mais sachez que sur le long terme, ils sont plus économiques. Ils permettent entre 40 et 50 lavages, soit l’équivalent de deux flacons de 250ml. Comme d’habitude, tout dépend de vos habitudes de consommation. J’ai utilisé des shampoings Klorane pendant des années. Je renouvelais leur stock régulièrement et leur composition n’était pas top si j’en crois le nouveau test édifiant de UFC Que Choisir. Bref, aucun regret d’avoir troqué ces flacons pour mon Pachamamaï !

Il convient d’être prudent car les compositions plus naturelles utilisent souvent des huiles essentielles. Celles-ci ne conviennent pas à tous le monde, et sont déconseillées aux femmes enceintes ou allaitantes.

Pensez-vous adopter le shampoing solide à votre tour ? Avez-vous des shampoings solides à me recommander ? Ma prochaine étape sera d’essayer de les fabriquer. Auriez-vous des recettes à me conseiller ?

Bisettes !

La boîte à tirages vintage • Photoweb [test produit]

Depuis plusieurs années maintenant, nous avons instauré deux habitudes à chaque retour de voyage : réaliser un livre de photos souvenir et faire imprimer les jolis clichés Instagram de notre séjour. J’avais l’habitude de commander nos photos Instagram chez Cheerz, dont j’aime beaucoup les petits coffrets pour conserver ces souvenirs en toute beauté, et rangés par voyage. Monsieur l’amoureux regrettait simplement que le format et l’apparence des photos Cheerz ne soient pas fidèles à un véritable polaroïd. Je pense avoir enfin trouvé un parfait compromis en la boîte à tirages, commercialisée par Photoweb.

Le dos des clichés de la boîte à tirages ressemble comme deux gouttes d’eau à un polaroïd. Les photos sont vraiment belles, à l’image de Venise, et bien épaisses au toucher. J’ai bénéficié d’un code promo de 30% en m’inscrivant à la newsletter. Sachez que si vous êtes intéressés, je peux vous parrainer (il vous suffit de me laisser votre mail en commentaire). Vous bénéficierez alors d’une réduction de 10 €. J’en ai profité pour commander des clichés normaux car les photos de voyage de Monsieur l’amoureux sont véritablement magnifiques !!! J’ai été déçue de les recevoir dans une pochette dure en plastique. Je ne pense pas en commander à nouveaux à cause de cette raison. J’aurai préféré une pochette en papier ou en carton kraft, beaucoup plus écologique et jolie. Je continuerai à commander la boîte à tirages vintage car les photos me conviennent davantage que celles de la Cheerz box, que j’aime beaucoup malgré tout. Le bémol : Photoweb m’a envoyé ma commande (deux articles) en deux envois. Ce n’est pas très écolo-responsable. Je suis sensible à ce genre de détail. Je fais désormais en sorte de limiter mes commandes en ligne, et privilégier l’achat local, quitte à me galérer parfois ;) !

J’ai lu aujourd’hui une phrase qui résonne beaucoup en moi sur un blog : Sans souvenirs, il n’y a pas de vie… Je ne suis attachée à aucun objet, mais j’aime tout particulièrement voyager. C’est un tel bonheur de construire nos souvenirs à deux ! Je prends beaucoup de plaisir à regarder nos photos et livres de voyages les dimanches pluvieux. Je fais très attention à ma consommation de papier au quotidien, mais je ne me vois pas faire l’impasse sur les photos et livres photos.

Et vous ? Conservez-vous vos souvenirs en version numérique ou préférez-vous les faire imprimer vous aussi ?

Bisettes !

La yaourtière Multidélices de SEB [test produit]

Dans notre démarche de diminution de nos déchets, nous avons commencé par faire un état des lieux de notre salle de bain et notre cuisine. Ces postes, dans un premier temps, nous semblaient responsables de la plus grosse quantité de déchets engendrés. Après avoir mis en place plusieurs solutions, dont je vous reparlerai prochainement, nous nous sommes rendus compte que le principal déchet qui remplissait notre poubelle était issu des yaourts de la semaine. Monsieur l’amoureux et moi avons alors pris la décision de n’acheter que des yaourts dont les contenants étaient en verre (matériau recyclable pratiquement à l’infini). Nous avons procédé ainsi pendant plusieurs semaines. Nous accumulions alors les petits pots en verre. La quantité qui s’entassait dans notre garage nous a réellement contraint à ouvrir les yeux. Nous avons donc suggéré l’idée d’une yaourtière à notre entourage, à l’occasion des fêtes de fin d’années. Après de nombreuses recherches, la yaourtière Multidélices de SEB nous est apparu comme le produit idéal.

La yaourtière Multidélices comprend 12 pots de 140ml chacun (elle existe également en version 6 pots). La contenance est vraiment plus importante que pour un yaourt traditionnel. Du coup, nous les remplissons parfois aux 2/3 en fonctions des recettes préparées. Elle est multifonctions car elle permet la préparation de yaourts, d’entremets, de petits gâteaux, de yaourts à boire, et même de fromage blanc (j’ai vu passé des recettes de fromages sur Pinterest). Les accessoires pour la préparation de fromage blanc ou de yaourts à boire sont à acheter séparément. Un petit livre de recettes est fourni mais vous trouverez une multitude de recettes sur Pinterest.

Côté astuce, j’avais lu qu’il fallait impérativement du lait entier, pour que les yaourts soient suffisamment fermes. Nous avons essayé avec du lait écrémé, puis demi-écrémé car nous n’avions que ça sous la main. Les yaourts étaient effectivement un peu liquides. Nous avons ensuite acheté du lait entier en poudre. Le résultat était concluant. Mais la vraie réussite aura été obtenue à partir de lait entier, qui apporte le crémeux et la fermeté au yaourt. Si vous vous posez la question, l’ajout de lait en poudre entier au véritable lait entier est inutile. Monsieur l’amoureux, le préposé aux yaourts à la maison, a bien essayé.

Les yaourts étaient vraiment trop riches, avec une texture proche de la crème fraîche. Un peu écœurant tout de même ! La recette préférée de Monsieur consiste à déposer deux à trois cuillerées de crème de marrons au fond des pots, puis à recouvrir d’un mélange yaourt et lait entier. À chaque fournée, il faut conserver un yaourt nature afin de pouvoir préparer la fournée suivante. Nous préparons nos yaourts maison depuis maintenant bientôt 2 mois. Nous allons essayer d’autres recettes mais la préparation de yaourts de base est très rapide (environ 10 minutes).

La yaourtière Multidélices doit rester fermée pendant 8h et ensuite, elle s’arrête automatiquement. Il suffit de placer les yaourts 4h au réfrigérateur avant de pouvoir les consommer. Les 12 pots nous suffisent pour la semaine, mais je pense commander un lot supplémentaire de 6 pots car tous les pots sont requis pour faire fonctionner la machine (du coup, le week-end, on doit parfois se dépêcher de terminer tous les pots ^^).

Pour la petite anecdote, il est tout à fait possible de faire ses yaourts maison à la cocotte ou au four. Pour des raisons de rapidité et d’efficacité, la yaourtière Multidélices nous semblait plus simple à intégrer à notre organisation. C’est sincèrement le cas, alors, n’hésitez pas à sauter le pas si vous êtes aussi intéressés par cette pratique. Vous maîtrisez les ingrédients présents dans la préparation. C’est une activité à laquelle les enfants peuvent participer car le lait n’a pas besoin de chauffer. Il suffit de prendre du lait bio pour avoir des yaourts bio. En ce moment même, nous avons une fournée de yaourts natures avec des petits morceaux de poire en cuisson. Miam !

Faites-vous déjà vos yaourts ? Est-ce une idée qui vous trotte dans la tête ?

Bisettes !

La famille Kokkonen [Édition Studio]

Le rayon des livres de voyage est toujours celui qui m’attire le plus à la librairie. Nous avons la chance de voyager régulièrement avec Monsieur l’amoureux. Chaque voyage est l’occasion de découvrir une culture ou des spécialités culinaires différentes des nôtres. Nous nous essayons toujours à la vie locale, en essayant d’éviter un maximum les circuits touristiques, bien que certaines visites soient incontournables. Depuis quelques temps déjà, j’adore me perdre dans les rayons enfants des librairies car j’y découvre régulièrement de très jolis livres de voyages qui leur sont destinés. La famille Kokkonen est une Édition Studio éditée par Caroline Gomez.

Les illustrations magnifiques sont de Ruth Landesa. Ce petit livre plaira autant aux enfants qu’aux adultes. Il met en scène la famille Kokkonen dans son quotidien finlandais. Les quatre saisons sont évoquées, avec différents paysages, les différentes activités, les traditions que vous pourrez rencontrer en Finlande. La vie nordique nous plaît depuis notre premier voyage à Oslo (Norvège). C’est inexplicable. La vie y est vraiment plus douce !

En hiver, la famille Kokkonen est contrainte d’adapter son mode de vie en raison des conditions climatiques en Finlande. Elle passe des journées entières sans voir le soleil. Les enfants partent à l’école en traineau et sont habillés comme des Esquimaux. Les adultes se réchauffent en buvant beaucoup de café tout au long de la journée. Ils pêchent et se baignent dans l’eau glacée. En été, la famille Kokkonen profite de sa cabane sur une île et fait griller des saucisses au feu de bois dans la forêt le soir. Certains jour, le soleil ne se couche pas.

Ce livre est au format 15 x 21 cm et compte 48 pages. Il coûte 12,50 €. Je le trouve vraiment superbe ! J’y ai entrevue une Finlande que je ne connaissais pas et qu’il me tarde de découvrir. Une belle idée de cadeau à offrir ! J’espère que Caroline Gomez éditera les autres pays scandinaves dans la même collection. Qu’en pensez-vous ?

Belle journée !

Cartoville versus Cartoville en famille

Si vous lisez ce blog régulièrement, vous savez déjà que depuis plusieurs années maintenant, nous voyageons régulièrement à l’étranger. Chacun de nos voyages est méticuleusement préparé. Je ne planifie pas vraiment nos journées, mais lorsque nous partons, je sais ce que nous irons voir. Je prépare également toujours une carte Google avec les différentes adresses recommandées sur les blogs que j’ai pu lire au préalable (restaurants, musées, promenades et magasins). Bref, malgré toute cette préparation, nous ne ne partons jamais sans notre Cartoville.

Je vous en ai déjà parlé plein de fois mais ce petit guide de voyage est le n°1 sur ma liste de guide à parcourir lorsque je réserve nos vacances. Nous avons de superbes souvenirs d’un canard laqué incroyable dans une ancienne pharmacie royale à Copenhague, d’une paella avec vue sur la plage à Barcelone ou bien encore d’une petite cave à vins atypique dans le centre de Rome. Nous avons toujours de belles surprises grâce aux recommandations de notre compagnon de voyage.

À l’occasion de notre voyage à Venise, j’ai reçu le Cartoville de Venise en famille de la part des Éditions Gallimard. Je ne connaissais pas cette édition car nous voyageons seulement en duo. Globalement, le fonctionnement est le même pour la version adulte et la version familiale : le guide est découpé par quartier.

Chaque partie comporte des adresses pour se restaurer, visiter et acheter des souvenirs, sommairement présentées et également localisées sur un plan du quartier présenté. Il se replie rapidement et se range dans la poche. Super pratique ! Les couleurs sont un peu plus présentes sur la version familiale. La différence porte principalement sur les adresses sélectionnées. J’ai noté que dans la version familiale, il y a davantage d’adresses de restaurants à budget plus restreints, ou bien prévues pour manger sur le pouce.

Les quelques adresses de bars et cafés proposées sont remplacées par des adresses pour se détendre en famille par exemple (comme des adresses de parcs ou des suggestions de visites à faire avec des enfants). J’ai d’ailleurs regretté de ne pouvoir faire la visite « Itinéraires secrets » du Palais des Doges. Si dans la version familiale que je n’avais pas emportée, il était mentionné qu’il fallait obligatoirement réserver la veille, il n’en n’était rien dans la version adulte.

J’ai trouvé ça vraiment dommage ! Dans la version familiale, il y a également des suggestions de questions à poser aux enfants lors des visites. J’ai beaucoup aimé cette idée d’apprendre en s’amusant ! Un petit cahier jeux pour enfants est inclus à la fin du guide. Enfin, un résumé des différentes îles de la Lagune est proposé sur deux pages avec les principaux intérêts de chacune. Il n’en n’est rien dans la version adulte.

Mon cœur balance entre les deux guides car la version adulte me parle davantage pour ses belles adresses du soir. Néanmoins, j’ai été très surprise de constater que la version familiale proposait des informations qui m’intéressaient également bien que différentes. J’en viens à me dire que les deux versions du Cartoville sont complémentaires, ce qui n’arrangera pas mes finances lors de nos prochains voyages.

Je vous prépare une petite sélection des différents guides utilisés pour préparer notre voyage à Venise.

Bisettes !

Super Green, Vivez au naturel !

Le blog d’Émilie Hébert, alias Mamzelle Emie et Make it beauty, aura été l’un des premiers blogs à me mener gentiment vers la réduction de mes déchets. Aussi, lorsque j’ai appris que le premier livre d’Émilie Hébert, Super Green, était paru aux Éditions Mango, je n’ai pas hésité une seconde à me le procurer. Et je ne le regrette pas ! Ce livre est comme le prolongement de son blog. J’y ai appris beaucoup pour vivre davantage au naturel.

Les recettes et conseils délivrés sont faciles à appliquer au quotidien. C’est sincèrement l’un de mes livres préférés en la matière. Le graphisme épuré et green de ce livre n’y est pas étranger. C’est très agréable de parcourir un livre aussi joli, tout en apprenant à prendre soin de soi et des siens. L’une des premières notions que j’ai appris en découvrant le mode de vie zéro déchet est l’écologie économique. Il s’agit de se détacher de la société de consommation et d’apprendre à remplacer tout ce que nous pensons essentiels à notre quotidien par des produits bruts multi-usages ou leur trouver des substituts non jetables. Ceci représente une réelle économie à terme.

Le livre Super Green comporte 208 pages et s’articule autour de trois grandes thématiques : la maison green, la green bien-être et beauté, la cuisine green. Nous apprenons ainsi à nettoyer et meubler sainement notre nid. Le livre regorge également de conseils et de recettes pour prendre soin de soi au naturel ou apprendre à fabriquer ses cosmétiques. Enfin, la cuisine green nécessite de réapprendre à cuisiner. Faire les choses soi-même apporte beaucoup de satisfaction. Le plus : connaître la composition de ce que l’on mange.

Apprendre à faire ses courses alimentaires différemment est tout aussi plaisant : nous mettons déjà beaucoup des conseils lus en application depuis un moment. Nous avons depuis longtemps délaissés les supermarchés, au profit de petits commerçants de centre-ville et du marché. Nous essayons de consommer des produits de qualité, de saison et le plus souvent, locaux. Chacun accepte à son niveau de prendre part à nos choix zéro déchet en acceptant nos sacs à vrac et nos paniers. Notre argent favorise l’emploi local et rétribue ceux qui font le choix de la qualité et des circuits courts (au lieu d’enrichir une seule et même personne déjà aisée ^^). Nous essayons d’acheter moins mais de consommer plus durable, éthique et écologique. Et notre budget n’en n’est pas vraiment impacté jusqu’à présent car nous n’achetons plus de produits finis. Bref, nous ne reviendrions en arrière pour rien au monde !!!

Nous avons encore beaucoup à faire mais chaque petit geste est une étape supplémentaire. Nous ne souhaitons pas être esclave pour autant. Nous essayons de trouver des solutions durables faciles à mettre en place. À Noël, nous avons reçu une yaourtière Multi-Délices de SEB. Je vous en reparlerai mais nous sommes enchantés ! Les yaourts sont meilleurs que ceux dans le commerce, et nous ne jetons plus une dizaine de pots en plastique sur-emballés chaque semaine.

Ce livre Super Green pourrait-il vous intéresser ? L’impact de votre consommation est-il l’une de vos préoccupations ? Avez-vous déjà entrepris de petits gestes pour y remédier ?

Venise en hiver ♡ [cityguide]

Certains d’entre vous ont déjà eu un petit aperçu de nos vacances à Venise, il y a quelques jours, via mon compte Instagram. La ville italienne était encore plus belle que dans mon imagination. Il faut avouer que je prépare toujours nos voyages avec soin. Je parcours les guides de voyages, les beaux livres sur le sujet. Je prends également beaucoup de plaisir à regarder des documentaires comme Échappées Belles ou Secrets d’Histoire (celui sur Casanova était génial !). Bref, j’ai prévu de vous reparler de la préparation de nos voyages dans un prochain article et de vous faire un article sur les guides qui nous sont utiles. En attendant, je vous propose les quelques adresses que nous avons eu la chance de découvrir et que nous vous recommandons chaudement.

(Crédits photos : Dorian Mongel)

On passera sur l’incident de notre vol Easyjet qui a été annulé après deux bonnes heures de retard et le stress engendré par le fait de devoir trouver un hôtel pour la nuit, ainsi qu’un vol le lendemain matin dans l’urgence. Bref, passons. À Venise, nous séjournions au Bed & Breakfast Ca’ San Giorgio. C’est un petit hôtel à l’esprit familial, hyper bien situé (quartier Santa Croce) et extrêmement accueillant. Le personnel est chaleureux et attentionné (une bouteille de prosecco et une petite brioche italienne nous attendaient dans notre chambre le soir du 31 décembre).

La première chose à savoir si vous visitez Venise, c’est que les adresses sont constituées d’un numéro et du nom du quartier. Il est parfois difficile de s’y orienter. D’autant que les GPS sont rapidement perdus dans les petites ruelles vénitiennes. Ça fait partie du charme de Venise. Il faut prendre le temps de s’y perdre pour mieux s’y retrouver.

(Crédits photos : Dorian Mongel)

La place San Marco est comme je l’imaginais : de belles arcades, où se tiennent deux belles adresses (le café Florian et le restaurant Quadri), la Basilique, le Campanile et le Palais des Doges. Le Campanile offre une très belle vue sur la lagune, à 360° (on accède au sommet par un ascenseur). La Basilique San Marco est magnifique. Nous avons seulement regretté qu’il soit nécessaire de payer à chaque point d’accès (on paie l’entrée de l’exposition et du balcon, l’accès aux reliques, l’accès à la Salle du Trésor). Le Palais des Doges est somptueux. Il n’y a pas d’autre mot. Il me tardait de visiter les prisons du Palais des Doges dont Casanova a réussi à s’échapper. J’adore découvrir des lieux historiques.

Le pont des Soupirs relie les prisons au Palais de justice. Le pont du Rialto et son marché sont chouettes ! La collection de Peggy Guggenheim vaut véritablement le détour. Il y a de très belles pièces, et le lieu est splendide. La Scuola Grande Di San Rocco est une église dont les plafonds sont impressionnants tellement ils sont beaux !!! Le petit bémol : il faisait vraiment froid à l’intérieur de la Scuola. De grands miroirs étaient à notre disposition pour visualiser les plafonds plus facilement.

Enfin, l’une des plus belles découvertes restera pour moi, l’île de Burano. Les façades des maisons de pêcheurs sont colorées car les pêcheurs repéraient plus facilement leur maison lorsqu’ils rentraient au port. Si vous souhaitez manger une spécialité sur place, nous vous recommandons le restaurant Al Gatto Nero (et leurs pâtes aux fruits de mer, un régal !). L’île de Burano et l’île de Mazzorbo sont reliées par un pont en bois. Allez y faire un petit tour, c’est enchanteur !

Nous sommes également allés à Murano en rentrant, mais comme les guides touristiques le laissaient présager, il n’y a pas grand chose à y voir. Évidemment, nous avons vu beaucoup de gondoles et de vaporettos. Nous avons mangé beaucoup de panettone, de pandoros (gâteau de noël de Vérone), de tiramisus, de pizzas, de pâtes, etc. Nous avons également goûté au spritz, un apéritif à base de prosecco dont les vénitiens raffolent (c’est légèrement amer). En gros, vous l’aurez compris, nous sommes tombés sous le charme de Venise en hiver (Monsieur l’amoureux connaissait Venise l’été, et il n’avait pas du tout apprécié la ville comme ce fut le cas en hiver).

Les illuminations de Noël apportent toujours beaucoup de magie dans la ville dès la nuit tombée. D’ailleurs, c’est une particularité à Venise : la nuit, il n’y a pas vraiment d’éclairage public, et il n’y a pas de lumière au rez-de-chaussée des habitations. C’est un peu surprenant au début, d’autant qu’il y a plein de recoins partout. Néanmoins, nous nous sentions en sécurité dans cette petite ville (tout se fait à pied).

J’espère que ce petit condensé de notre voyage vous a plu et qu’il vous aura donné l’envie d’aller découvrir Venise à votre tour. Je partage avec vous la carte Google Maps que j’avais préparé avant de partir.

Bisettes !

Make it beauty : des huiles végétales de qualité

Plus d’un mois sans publier… J’espère que notre calendrier de l’Avent vous a plu. Je vous remercie tous pour vos nombreuses participations. J’en profite pour vous souhaiter une très belle année 2017 : la santé avant tout ! Je vous souhaite également de concrétiser vos rêves. Ma nouvelle devise depuis quelques temps est celle-ci : faire en sorte de mourir avec de beaux souvenirs, et non avec des rêves. C’est une leçon que j’aurai tiré de notre année 2016.  Privilégier la vie, tout simplement ! Bref, revenons-en à notre sujet. Depuis plusieurs mois maintenant, je m’instruis sur les conséquences de nos modes de vie, et je m’intéresse énormément au zéro déchet. Je vous en ai déjà parlé. Ces recherches m’ont permis de nombreuses découvertes, que je compte bien partager avec vous. L’une de ces précieuses découvertes est la boutique Make it beauty.

Les flacons sont en verre ambré. En plus d’être esthétiques, ils protègent parfaitement les huiles végétales. Celles-ci sont de belles qualités. La brume végétale d’aloe vera est étonnamment nourrissante pour ma peau sèche. J’ai commandé également un hydrolat de sauge. L’odeur est curieuse mais on s’y fait avec le temps. Il rend ma peau toute douce. J’ai découvert l’huile végétale de thé blanc, que j’utilise le soir, en remplacement de l’huile d’argan. Ma peau semble l’apprécier !

Le titre de mon article est un peu réducteur car la boutique Make it beauty de Mamzelle Emie ne propose pas que des huiles végétales. Personnellement, je recherchais ces huiles de qualité en priorité. J’y ai également trouvé quelques hydrolats et de l’aloe vera que j’apprécie beaucoup. La politique de Mamzelle Emie me plaît également. Les contenants sont étudiés pour réduire leur impact sur l’environnement. C’est une problématique qui me tient également à coeur. Les flacons me font penser à ceux des apothicaires !

Je vous présenterai prochainement les livres Super Green et Green cuisine de Mamzelle Emie justement. J’en suis addict ! Vous connaissez peut-être déjà ?

Belle journée !

Fermer la popin Abonnement à la newsletter
Fermer la popin