La baleine de Chouette Kit (Patron gratuit à télécharger)
Tout d’abord, j’espère que la période de confinement que nous connaissons actuellement se passe bien pour vous. Ici, on cumule chacun télé-travail et bébé M, alors, on ne voit pas le temps passer. Mais bon, nous sommes en bonne santé pour le moment et en sécurité, alors, tout va bien. Curieusement, c’est ce moment précis que je choisis pour ressortir mes tissus et mes affaires de couture. Ce long week-end de trois jours m’a laissé le temps de manipuler un peu mes machines de couture pour réaliser des masques Covid-19 et une baleine selon le patron offert par Chouette Kit.

Chouette Kit, vous connaissez ? Je vous en parlais déjà en 2012 ;), comme le temps passe vite. En tous cas, je suis restée abonnée à pas mal de flux de couture et j’ai vu passer dernièrement de jolies baleines avec un patron gratuit à télécharger. L’envie de reprendre la couture après plusieurs années d’abstinence s’est fait sentir et je me suis lancée. Heureusement, dans une démarche écologique, j’avais conservé mes affaires de couture en partant du principe que « réparer » était souvent indispensable. Mais là, je vous parle bien de « création » ou en tous cas, de « réalisation ».

Après avoir retourné mes deux malles de tissus, j’ai choisi un lin bleu canard (de mémoire, il me semble qu’il provient de Ma Petite Mercerie mais il y a très longtemps…sans doute à l’époque de mon premier livre, c’est dire !) et un joli motif à fleurs très discret (de mon stock) pour bébé M qui a désormais 8 mois. Les cloches de Pâques lui ont apportées un gros lapin avec une clochette dorée. C’est tout ce que j’ai pu trouver sans prendre le risque de contaminer Monsieur l’amoureux qui doit être particulièrement vigilant. Nous nous sommes donc empressés de le dévorer… Ainsi, Monsieur nous a bricolé une petite coque de protection pour y ranger la clochette en vue de la glisser au sein de la petite baleine. Bébé M adore la secouer. On soupçonne même qu’elle ne tardera pas à devenir son objet transitionnel.

Ça tombe plutôt bien puisqu’à la crèche, son animal totem est la baleine. La boucle est bouclée :). Pour télécharger le patron gratuit, il vous suffit de vous rendre sur le site de Chouette Kit et d’y créer un compte. Je n’ai pas d’imprimante à la maison mais le patron se recopie très facilement sur l’écran avec une feuille de papier. J’envisage de lui coudre un petit ou un parent. J’aime bien l’idée de la famille Baleine :). Le patron est très simple à coudre, parfait pour se remettre le pied à l’étrier en douceur ! En revanche, je n’ai pas osé broder les yeux ne sachant pas broder pour le moment. Auriez-vous un bon tutoriel de broderie à me recommander ? :)
Belle journée.
C’est encore loin Noël ? [calendrier de l’Avent]
Nous sommes le 1er décembre et comme chaque année, nous avons ouvert la première case de notre calendrier de l’Avent. Sauf que cette année, il n’y a pas de gourmandises à grignoter. Notre choix s’est porté sur un calendrier de l’Avent un peu différent pour notre Bébé M. Il a quatre mois et aime beaucoup les histoires. Nous lui en lisions déjà lorsqu’il était encore dans mon ventre. Aussi, nous avons naturellement continué dès sa naissance. Le livre C’est encore loin Noël ?, paru aux Éditions Milan, était donc le calendrier de l’Avent idéal pour son premier Noël.

Le principe est simple : un calendrier de l’Avent cartonné accompagne le livre. Ce dernier comporte 24 cases. Derrière chacune de ces cases, une illustration nous permet de connaître l’histoire, la poésie, le conte ou la chanson du jour. C’est vraiment ludique ! Ce livre pourra accompagner nos prochains Noël et ainsi, s’inscrire dans nos souvenirs de fêtes. De plus, c’est une bonne façon de passer du temps en famille pendant cette période propice au cocooning et d’éviter une surconsommation inutile.


On y retrouve la légende de Saint Nicolas, la chanson Mon beau sapin ou encore le célèbre conte Casse-Noisette, Enfin, j’aime que des contes étrangers aient été retenus comme le conte norvégien La nuit des Trolls ou encore la légende italienne La Befana. C’est une belle façon d’initier Bébé M au voyage. Nous avons chiné notre exemplaire sur Vinted pour 8€. Neuf, il coûte 19,50€. Que pensez-vous de ce calendrier de l’Avent un peu différent ?


Dans un autre registre, une entreprise prestataire de l’agence de M. L’amoureux a initié le Yellow Monday. Je ne sais pas si ça vous parle, mais c’est un peu dans la lignée du Green Friday. Celui-ci a pour but de changer les habitudes de consommation provoquées par le Black Friday. Cette surconsommation aberrante et inutile venue des États-Unis. Le principe de ce Yellow Monday, c’est d’essayer d’adopter quelques gestes écologiques pour faire du bien à la planète que nous laisserons à nos enfants.

L’idée, ce n’est pas de nous culpabiliser. Pas du tout ! Personne n’est parfait. En revanche, on peut essayer d’améliorer nos habitudes malgré tout. Personnellement, je dois vraiment apprendre à supprimer davantage mes e-mails. Ce sera ma prochaine résolution ! J’aimerai envisager le covoiturage pour aller travailler mais c’est compliqué car je travaille en campagne et j’ai des horaires un peu décalés…le bus n’est pas une option car j’en ai pour 1h le matin et 1h le soir. Je l’ai fait pendant des années, mais avec Bébé M, ce ne sera plus gérable. Pas simple hein ? Sinon, tous les autres gestes sont déjà adoptés ici. Et vous, où en êtes-vous ?
Bisettes !
Le mobile de Gobbi [DIY]
Depuis la naissance de bébé M, je m’intéresse beaucoup à la pédagogie de Maria Montessori. Évidemment, je n’adhère pas à tout et nous n’envisageons pas de privilégier ce type d’établissement pour la scolarité de notre fils. Néanmoins, certaines idées liées à l’accompagnement du développement de l’enfant me séduisent. Pour commencer, bébé M a eu la chance de se voir offrir un très joli mobile en noir et blanc par un couple d’amis. Il l’adore depuis ses premières semaines et aujourd’hui encore, ce mobile accroche son regard et son attention. Du coup, poursuivre en lui créant un mobile Gobbi nous semble être une bonne idée.

Le mobile Gobbi tient son nom de sa créatrice, Gianna Gobbi, une collaboratrice de Maria Montessori. Entre 2 et 4 mois, il permet à l’enfant d’affiner sa vue. Bébé va alors exercer sa vue à distinguer les nuances d’une même couleur. Il se familiarise avec les variations de couleur. En revanche, il ne faut pas fatiguer bébé. Dans l’idéal, ce mobile devrait être installé dans son espace d’éveil. Il faudrait le laisser à disposition de bébé seulement quelques minutes chaque jour. La couleur n’est pas fixe, vous pouvez utiliser celle de votre choix. Ce qui compte, ce sont les 5 sphères de 5 nuances d’une même couleur. J’ai choisi le bleu car c’est la couleur que bébé a le plus de difficulté à percevoir.


D’après Gianna Gobbi, il faudrait utiliser des boules de polystyrène de 4cm de diamètre que l’on recouvrirait de fil à broder et peindre la baguette de la nuance la plus foncée. Personnellement, je n’avais ni fil à broder ni polystyrène. J’ai donc choisi d’utiliser des boules de guirlandes La Case de Cousin Paul. Elles pourront ensuite être réutilisées sur nos guirlandes, à la maison. C’est beaucoup plus économique et écologique ainsi. On peut également utiliser des boules de Noël, etc. L’important, c’est de rester créatif ;). Je vous joints donc le tutoriel, pour réaliser ce mobile, très simple et accessible de tous.

Bisettes !
La box zéro déchet de Pousse Pousse
Vous souhaitez vous aussi participer à la réduction des déchets et l’économie des ressources pour la planète mais vous ne savez par où commencer ? J’ai peut-être une solution pour vous. La box zéro déchet élaborée par Pousse Pousse. Elle peut marquer le point de départ vers une vie plus responsable.

Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à la réduction de nos déchets. J’ai passé des heures à fouiller sur le web, mais ne sachant pas vraiment par où commencer. Deux ans après, je suis plutôt au point sur certaines choses comme la limitation des déchets en cuisine ou dans la salle de bain, mais même si ce sont des postes importants au sein des foyers, il y a encore beaucoup à faire. Et le temps presse !

La box zéro déchet fonctionne sur le même principe que n’importe quelle autre box : un abonnement d’un, trois ou six mois, résiliable en ligne en un clic. Elle contient au minimum un objet du quotidien durable, un produit découverte d’une jolie marque française partenaire et engagée (fini le greenwashing), un kit à faire soi-même pour s’initier aux bons gestes, avec des explications détaillées. Ainsi, la box permet de prendre de bonnes habitudes petit à petit. Le feuillet explicatif est très bien conçu. Les fruits et légumes de saison y sont rappelés. C’est une excellente idée ! Elle permet également de découvrir des marques françaises engagées dans des modes de production respectueux de l’environnement. Et ça, ce n’est pas rien ! Dénicher ces petites marques par soi-même, ça prend du temps, croyez-moi !!

L’équipe de Pousse Pousse propose donc ce mois-ci de s’attaquer à l’espace « buanderie » de notre nid. On peut ainsi s’initier à la lessive maison, en la fabricant soi-même. J’ai franchement été agréablement surprise de découvrir du lierre dans ma box ! Celle-ci contenait également un sachet de terre de sommières et deux balles de séchage en laine (biodégradables). La terre de sommières est très efficace pour détacher les textiles au quotidien. Les balles de séchage, quant-à elles, permettent une réduction du temps de séchage en sèche-linge électrique. Elles protègent des bouloches, suppriment l’électricité statique et remplacent parfaitement l’adoucissant. Il y avait également un cache-pot en métal pour le lierre, accompagné d’un autocollant graphique, issu d’une collaboration avec l’artiste Blue Note.

Sur le principe, la box zéro déchet Pousse Pousse me plaît bien pour faciliter le passage à l’acte des néophytes. Personnellement, je connaissais déjà les produits et les marques présentés. Mais j’envisage d’offrir un abonnement à Noël à mes proches qui ne s’intéressent pas encore à la réduction des déchets ou ne savent pas comment s’y prendre. Nous avons pris l’habitude d’offrir des articles durables pendant les fêtes. En revanche, il y avait un échantillon de lessive L’Arbre Vert dans la box. J’aime beaucoup cette marque écologique mais l’échantillon me chagrine un peu dans une box zéro déchet. Même chose pour l’autocollant qui permet de décorer le cache-pot en métal.

Par contre, j’ai beaucoup aimé recevoir un petit mot, rédigé sur une carte ensemencée. J’adore en recevoir !!! On ne devrait écrire que sur ce type de support afin de préserver l’environnement. Lorsque bébé sera en âge, nous les planterons sur notre balcon et découvrirons alors, les graines qu’elles contiennent. C’est magique ! J’aimerai bien que la box zéro déchet de décembre contienne un furoshiki ou une hotte de noël en jute. Cela permet de réduire considérablement les déchets à une période qui en occasionne énormément. Le mois prochain, il sera question de shampoing solide.

Connaissiez-vous ces produits ? Peut-être les utilisez-vous déjà ? Que pensez-vous du concept d’une box zéro déchet ?
Belle journée !
Mes animaux, un joli livre en noir et blanc
Je reviens aujourd’hui, après une trop longue absence, vous présenter un livre un peu particulier puisqu’il s’agit du livre pour enfant Mes animaux de Xavier Deneux, paru aux Éditions Tourbillon. Notre petit garçon est né fin juillet, et forcément, j’ai un peu moins de temps à consacrer à mes passions habituelles. En attendant de pouvoir les retrouver, je me passionne pour un tout autre sujet, l’éveil de notre bébé. J’ai parcouru de nombreux blogs pendant ma grossesse, lu plusieurs livres au sujet de l’enfance et de la parentalité. Tout naturellement, j’en suis venue à me dire que je pourrai partager mes découvertes et coups de coeur avec vous. Et vice versa. Qu’en pensez-vous ?


Le livre Mes animaux est destiné aux plus petits. Il s’agit en fait d’un très bel imagier en noir et blanc. Les bébés ne voient pas très bien à la naissance. Petit à petit, leur vue s’affine et ils sont attirés par les contrastes très marqués les trois premiers mois. Le noir et le blanc. Aussi, ce premier livre que nous avons offert à notre fils pour son anniversaire du 1er mois est parfaitement adapté. D’ailleurs, il adore le panda. À chaque fois qu’il le voit, il lui sourit. C’est tellement vrai que je lui ai chiné une marionnette panda sur Vinted afin de mettre en scène Monsieur Panda lorsque nous parcourrons ce livre.


L’ouvrage contient des découpes au fil des pages. Il présente 18 animaux de tous horizons. Ainsi, le panda côtoie aussi bien le chat que la vache. Enfin, il coûte 10,95€. C’est une belle idée de cadeau de naissance, vous ne trouvez pas ?
Un potager bio dans la maison
Gros coup de coeur pour le livre Un potager bio dans la maison paru aux Éditions Mama ! Celui-ci se définit comme un guide d’éco-jardinage en intérieur. Il part du principe que les températures intérieures s’apparentent désormais à celles des climats tropicaux. L’année dernière, j’ai commencé à m’intéresser au jardinage, notamment à la culture des aromates et tomates cerises sur notre balcon. Cependant, je cultive avec succès des plantes grasses et des plantes vertes dans notre intérieur depuis plusieurs années maintenant. Notre pilea peperomioides donne de nombreuses boutures depuis 3 ans et je suis ravie d’en faire profiter nos proches.

Cette bible de 432 pages propose trois petits jardins potagers d’intérieur. Le premier suggère de cultiver des aromates des tropiques comme le basilic thaï ou la coriandre mexicaine. Le second, qui me plaît le plus, propose la culture de fleurs et tisanes. Enfin, le dernier est un potager mixte qui se compose de fraisier, de piment et de souci par exemple. Évidemment, différents types d’installation sont présentés en fonction de son choix de culture et de la place dont on dispose, évidemment. Des tutoriels en images ponctuent régulièrement ce guide. On y apprend à planter un pied de tomate tête en bas afin de pouvoir le suspendre. Des techniques de culture comme l’hydroponie y sont détaillées.


L’ouvrage Un potager bio dans la maison se compose de neuf thématiques que l’on aperçoit sur le côté (comme des onglets). Il aborde ainsi l’installation, l’acquisition, le hors sol, les techniques, les soins, la taille, les plantes, les recettes et enfin, les subtilités. Ce livre est vraiment complet et riche en enseignements. On y apprend à bouturer selon différentes techniques. Je ne pensais pas qu’il y avait autant de paramètres à maîtriser pour réussir ses cultures. Le potager extérieur de mon père m’impressionne d’autant plus aujourd’hui ! Le jardinage est une vraie science. J’ai débuté avec mes aromates l’an dernier. Certains sont rapidement décédés comme mes deux variétés de thyms. D’autres, en revanche, se sont pleinement épanouis. Ce fut le cas de notre persil, qui est monté en fleurs tout récemment.


En début de livre, un tableau des cultures récapitule l’ensemble des plantes que l’auteur suggère de cultiver en intérieur. Elles disposent chacune d’une fiche plus détaillée dans l’ouvrage afin d’identifier leurs besoins et particularités de culture. Il y a également des recettes pour cuisiner ses récoltes. Je rêve depuis des mois de cultiver mes plantes dans une petite serre qui serait attenante à notre nid (comme dans la série The Handmaid’s tale) ou soyons fou, complètement intégrée à notre nid (comme cette maison en Suède). Peut-être que ce projet pourra se concrétiser un jour. Je ne sais pas si vous connaissez la maison Greenhouse de Rotterdam mais j’adore le concept ! En tous cas, cet ouvrage me prouve qu’il me reste beaucoup à apprendre et à expérimenter.


Enfin, je tenais à remercier le site de botanique Floralia Nature de m’avoir offert ce très bel ouvrage. Il s’agit d’une véritable encyclopédie en ligne. Floralia Nature met à disposition des milliers de fiches pour entretenir et cultiver les plantes de toutes sortes. Bonne lecture !
Le défi « Rien de neuf » avec Zero Waste France
Je vous ai déjà présenté l’association Zero Waste France. Celle-ci milite pour la réduction des déchets et une meilleure utilisation des ressources. Cette association engagée lance actuellement la 2ème édition du défi « Rien de neuf« . L’objectif est simple : essayer de ne pas acheter d’objets neufs durant un an. Je vous l’accorde, si cela paraît simple sur le papier, ce n’est pas toujours aussi facile à mettre en application.

Lorsque j’ai pris connaissance de ce défi, j’ai tout de suite été séduite. Il est vrai que d’une manière générale, on possède bien plus que ce dont on a réellement besoin. J’en ai encore plus conscience actuellement car nous aurons la chance de bientôt accueillir notre premier enfant. Nous l’avons longtemps attendu et désiré. Entre temps, notre manière de consommer a beaucoup évolué. Il y a quelques années, ce bébé aurait été accueilli avec tout un tas de choses parfaitement superflues. Aujourd’hui, nous sommes plutôt minimalistes. La liste est courte : il nous fallait de quoi le faire dormir, l’habiller, le laver, jouer, et le sortir en toute sécurité. Aussi, nous nous sommes naturellement tournés vers la seconde main lorsque nous avons dû commencer à nous équiper pour l’accueillir. Ainsi, son dressing est prêt de la taille naissance à 6 mois.

Plusieurs articles de puériculture sont également de la seconde main comme son transat de bain, quelques biberons encore dans leurs emballages d’origine ou des langes de très grande taille. Les jouets ne sont pas en reste car nous avons trouvé plusieurs livres en tissu Wee Gallery, un cube d’éveil, ainsi que des livres de très bonnes qualités et en parfait état. Nous avons trouvé notre bonheur sur Vinted ainsi que sur des sites de seconde main comme Patatam, Il était plusieurs fois et By Bamboù. Il convient de privilégier des marques de qualité (comme Petit bateau, Numero 74, Poudre Organic ou Bout’chou), dont la qualité est suffisante pour servir à plusieurs enfants sans problème. De plus, les articles de ces marques sont souvent certifiés Oeko-Tex (une norme qui garantit que le produit final ne nuit ni à l’enfant ni à l’environnement).

J’évite les marques de fast-fashion (comme Zara, H&M, etc.) qui ne sont pas de suffisamment bonne qualité pour servir plusieurs fois. Étant très maniaque, je craignais un peu d’acheter de la seconde main au début. Mais j’ai été bluffée ! Je sélectionne mes annonces avec soin (en très bon état ou du neuf lorsque c’est possible), je vérifie méticuleusement à la réception. Le savon de Marseille et le percarbonate ont parfois été bien utiles mais sincèrement, tout est en excellent état après lavage. Et quelles économies ! Aussi bien financières qu’en terme de ressources pour la planète. J’ai d’ailleurs trouvé mes vêtements de grossesse et plusieurs articles en prévision de l’allaitement sur Vinted. Cependant, nous avons dû faire plusieurs achats neufs, notamment pour ce qui concerne le couchage (matelas en latex naturel, lit d’appoint Babybjörn, draps en coton bio) et les assises (comme le siège auto ou la chaise Tripp Trapp).

Nous y avons mûrement réfléchi mais pour nous, l’ergonomie, l’hygiène et surtout la sécurité ont pris le pas pour ces quelques achats. Nous avons essayé de privilégier une fois de plus des entreprises françaises ou européennes, des produits certifiés ou des matières naturelles lorsque cela étaient possibles. Pas toujours simple comme réflexion. Je n’aspire pas à la perfection, je cherche le bon compromis pour tout le monde. Il faut faire en son âme et conscience et se déculpabiliser. Je me dis que chaque petit geste compte. Alors, j’ai décidé de me lancer mon propre défi. Je vais essayer de considérablement réduire mes achats d’objets neufs durant cette prochaine année.

Nous avons déjà quelques réflexes comme la réparation de nos vêtements, les livres d’occasion, les vêtements de seconde main, etc. Le faire soi-même occupe déjà une place importante dans notre quotidien (comme la cuisine, le bricolage, etc.). Surtout, nous allons essayer d’arrêter de nous créer des besoins. C’est peut-être le plus difficile. Savoir se contenter de ce que l’on a. Prendre le temps de redécouvrir ses affaires, relire ses livres et écouter à nouveau ses vinyles. Emprunter des livres à ses proches ou à la bibliothèque, faire les vide-greniers, etc.
Et puis, nous avons désormais la plus jolie des motivations. Pouvoir dire un jour à notre enfant que l’on a fait notre part pour essayer de lui laisser une planète où la vie est encore possible dans de bonnes conditions. Alors, prêts à relever le défi ? L’avez-vous déjà rejoint ? Quelles sont vos astuces pour limiter vos achats neufs au quotidien ?
Blois : un château chargé d’Histoire
Le château de Blois est l’un des châteaux de la Loire les plus visités. En effet, celui-ci est composé d’éléments architecturaux allant du Moyen-Age au XVIIe siècle. Le château a régulièrement été déconstruit puis complété au cours des siècles par les différents souverains qui y ont séjourné.

L’architecture du Moyen-Age est visible à travers la forteresse du IXe siècle, agrémentée d’une chapelle, d’une tour et de quelques autres bâtiments médiévaux. Ensuite, Louis XII souhaite faire évoluer ce qu’il reste du château en un palais au style gothique. Puis c’est au tour de François 1er d’apporter sa touche architecturale, à partir de 1515, avec la construction de l’aile Renaissance et de son escalier extérieur devenu célèbre. Il est d’ailleurs magnifique ! Enfin, Gaston d’Orléans, frère du roi Louis XIII, ordonnera la construction de l’aile classique en 1635. L’allure de ce château est donc atypique. Il est le témoin de l’Histoire.


Nous avions également réservé un billet pour admirer le spectacle de nuit, projeté sur les différentes façades depuis la cour intérieure du château. Il faisait un peu froid (en mai). Mais sincèrement, c’était chouette de découvrir l’histoire du château de Blois en images sur les 4 différentes façades. Nous y avons appris que ce château a été le lieu de drames et de nombreuses manigances. C’est très agréable de se plonger ainsi dans l’Histoire de France.


« Dans l’aile Louis XII se trouve, depuis 1869, le Musée des Beaux-Arts de la ville qui présente plus de 300 œuvres retraçant l’histoire de l’art européen du XVIe au XIXe siècle » (source : futura sciences). Comme à chaque fois, nous avions pris l’audioguide. On peut faire la visite à son rythme, et c’est une façon ludique d’en apprendre davantage sur le lieu visité.


Pour le diner, nous avions réservé à l’Orangerie du château (située au 1, avenue Jean Laigret). C’était délicieux ! Une belle façon de terminer la journée. Une fois encore, nous avons utilisé le guide de voyage Géoguide Châteaux de la Loire (Éditions Gallimard) pour préparer cette visite. Il est très pratique car il regroupe l’ensemble des châteaux de la Loire !


Avez-vous déjà visité ce château ? Avez-vous un château préféré que vous souhaiteriez nous recommander ?
Bisettes !
Des salades qui nous font du bien
Depuis plusieurs années maintenant, je mets un point d’honneur à ce que notre alimentation soit de qualité et saine. Nous sommes très gourmands, et nous apprécions d’apprendre à cuisiner des légumes de saison que nous ne consommions pas avant. Depuis que nous faisons nos courses en vrac et à la Biocoop, nous ne consommons que des fruits et légumes de saison. Nous avons donc appris à cuisiner le fenouil, la betterave ou encore le céleri différemment. Le livre Des salades qui nous font du bien, paru aux Éditions La Plage, tombe à point nommé.

Le livre, écrit par la blogueuse La fée Stéphanie, va devenir ma nouvelle bible pour accommoder les légumes. En effet, je ne vous apprends rien si je vous dis qu’en cuisine, on tourne vite en rond. Par souci de rapidité, ce sont souvent les mêmes recettes qui reviennent. En ce qui me concerne, j’aime bien expérimenter et découvrir de nouvelles techniques ou des saveurs inconnues. Monsieur l’amoureux a découvert le mirepoix récemment, et croyez-moi, ses lasagnes sont désormais à se damner (grâce à cette recette d’Alex) !


Cet ouvrage de 252 pages contient pas moins de 300 recettes pour mettre en salade pratiquement tous les légumes. Le soir, nous mangeons très régulièrement (pour ne pas dire quotidiennement) une salade. C’est un bon moyen de parvenir à l’équilibre alimentaire en faisait la part belle aux légumes. Cependant, je dois reconnaître que là encore, ce sont souvent les mêmes qui reviennent. Je suis donc ravie d’avoir découvert les recettes de Stéphanie Tresch-Medici. Elles associent les graines germées, les oléagineux, les marinades, des sauces originales à des accompagnements comme le pain ou les crackers afin d’apporter de la diversité à la salade de légumes.


J’ai beaucoup aimé les recettes complémentaires comme les sels aromatisés ou les huiles parfumées. C’est une belle façon de relever sa salade. Les recettes semblent simples, à la portée de tous. Les ingrédients se trouvent très facilement chez le primeur ou dans les magasins bio. J’aime beaucoup la présentation par légumes car c’est plus compliqué de manger de saison lorsque les livres de cuisine ne tiennent pas compte de la saisonnalité. Ici, tout le livre s’articule justement autour du légume, cuisiné de saison.


Le livre Des salades qui nous font du bien contient également des recettes de salades pour recevoir. C’est vrai que je n’y pense pas souvent lorsque nous recevons mais une belle et bonne salade peut très bien satisfaire les papilles de chacun. Pour ma part, je vais essayer de m’améliorer au niveau des sauces. Il n’y a pas longtemps, j’admirais l’étalage de salades fraîchement préparées chez le traiteur, et je suis certaine que le secret d’une bonne salade réside en partie dans sa sauce.


Enfin, un index permet de retrouver facilement le choix des recettes par ingrédient. Une petite mention spéciale pour la scénographie des recettes, partiellement illustrée à l’aquarelle : j’adore !
Avez-vous déjà cuisiné l’une des recettes de ce livre ? Connaissez-vous les recettes de La fée Stéphanie ?
Bisettes !