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Du vinaigre blanc parfumé naturellement (astuces)

À la maison, nous avons adopté depuis plusieurs années des produits bruts et naturels pour entretenir notre intérieur. Ainsi, vous ne trouverez dans notre placard ménager que du savon de marseille, du savon noir, du bicarbonate de soude, des cristaux de soude, du percarbonate de soude, de l’acide citrique et du vinaigre blanc. Ce dernier a tellement de propriétés intéressantes qu’il est devenu un compagnon du quotidien bien que son odeur ne soit pas très agréable. Il faut bien le reconnaître. Aussi, j’essaie d’utiliser du vinaigre blanc parfumé naturellement le plus souvent possible.

En ce qui concerne ses propriétés, le vinaigre blanc vous rendra de nombreux services pour entretenir votre nid. À lui seul, il saura remplacer bon nombre de produits ménagers du commerce. Ainsi, il nettoie, dégraisse, désinfecte, ravive les couleurs et constitue un excellent désherbant naturel. « C’est un puissant antibactérien puisqu’il tue 99% des bactéries, 82% des moisissures et 80% des virus » (source : Le vinaigre blanc aux Éditions Massin). Il est totalement naturel car il est dérivé de betteraves ou de maïs fermentés. Il a la capacité de se dégrader rapidement et de ne laisser aucune trace dans l’environnement, contrairement à la plupart des produits ménagers non écologiques commercialisés.

Pour atténuer son odeur un peu forte, nous avons pris l’habitude de laisser régulièrement infuser des plantes séchées ou des écorces d’agrumes biologiques dans du vinaigre blanc. Il suffit de remplir un bocal ou une bouteille en verre de votre précieux vinaigre blanc, puis d’ajouter par exemple des quartiers de citrons déjà utilisés. Dans notre cas, j’avais préparé une tarte au citron. J’ai donc profité de l’occasion pour recycler mes citrons pressés et parfumer mon vinaigre ménager. Je laisse le mélange infuser 15 jours en moyenne. En général, j’arrive à refaire infuser un nouveau litre de vinaigre avec les mêmes citrons.

On peut également utiliser de la lavande ou des pétales de roses biologiques. Celles-ci avaient dépassé la date limite de consommation, alors, pas de perte. Je pense pouvoir infuser plusieurs autres litres de vinaigre en réutilisant les mêmes fleurs. Il me suffira de les récupérer avec un chinois au moment de transvaser mon vinaigre blanc dans un pulvérisateur. Les possibilités sont infinies. Par contre, j’évite d’utiliser le vinaigre parfumé naturellement pour mon linge blanc, de peur de le colorer. Les plantes ont tout de même ce pouvoir. Pour l’entretien de la maison, je dilue ce vinaigre (moitié eau/moitié vinaigre).

En ce qui concerne les utilisations possibles du vinaigre blanc, elles sont tellement variées que je ne pourrai toutes vous les citer. Je vous recommande le livre Green Washing, que je vous avais présenté. À la maison, nous l’utilisons principalement pour :

Mon seul regret ? Nous avons des difficultés à le trouver en vrac. Notre Biocoop ne le propose pas. Je l’ai suggéré dans la boîte à idées alors, je continue d’espérer…
Et vous ? Quelles sont vos astuces avec le vinaigre blanc ?
Bisettes !

Naturellement Lyla : Masques de Beauté

Connaissez-vous Naturellement Lyla ? Cette blogueuse-youtubeuse, à la jolie crinière et au grain de peau irréprochable a fait de la beauté au naturel, son cheval de bataille. Sincèrement, je ne suis pas beaucoup de blogueuse beauté-mode. De manière générale, ce ne sont pas des thématiques qui m’intéressent. Naturellement Lyla fait partie des rares exceptions car elle aborde la beauté du côté du soin. Prendre soin de soi au naturel, avec peu d’ingrédients et des produits biologiques. Soigner sa peau, réparer une chevelure en mal de nutrition ou encore en finir avec l’acné. Telles sont les promesses du livre Masques de beauté, paru aux Éditions La Plage.

Ce livre de 72 pages propose 28 recettes maison pour des cheveux sains et une jolie peau. Elles sont simples (entre 3 et 5 ingrédients) et très rapides à préparer. Les produits utilisés sont faciles à trouver. On retrouve par exemple les produits phares de la beauté au naturel comme l’aloe vera, l’huile végétale de coco, le miel, l’huile de ricin, les argiles ou encore le bicarbonate de soude. J’ai pu également découvrir certaines huiles que je ne connaissais pas. Ainsi, l’huile végétale de moutard fortifie et est très efficace pour accélérer la pousse des cheveux, tout en les nourrissant. De même, l’huile essentielle d’ylang-ylang complète s’avère indispensable pour ralentir la chute des cheveux.

J’ai banni les produits de beauté du commerce, en dehors de quelques rares marques comme Jonzac ou Cattier depuis plusieurs années. En effet, j’essaie de privilégier des produits bruts biologiques comme le beurre de karité, le savon d’alep, l’huile de jojoba ou encore l’huile d’argan. Ma peau ou mes cheveux sont parfois déshydratés. Ce petit livre coûte 9,95€. Il va me permettre de compléter mes produits bruts.

Ce petit guide est idéal. Il est très simple d’approche si vous débutez dans la cosmétique au naturel. Naturellement Lyla partage ses astuces ainsi que ses recommandations pour s’initier à la beauté au naturel en toute sécurité. Elle partage également quelques adresses pour se procurer facilement les produits mentionnés dans l’ouvrage.

Bisettes !

Chambord : un château grandiose dans le Loir-et-Cher

Le château de Chambord a été le premier que nous sommes allés visiter lors de notre séjour. Nous en avons pris plein les yeux. Son architecture est époustouflante ! Il est imposant (440 pièces), et on s’imagine sans mal la vie à la cour à cette époque.

(Crédits photos : Dorian Mongel)

Chambord se situe dans le Loir-et-Cher. Si comme nous, vous souhaitez profiter de votre séjour pour visiter plusieurs châteaux de la Loire, c’est possible. Ils sont tous plus ou moins près les uns des autres. Pour notre première visite, nous avons choisi de visiter Chambord, Blois, Cheverny et Chenonceaux. Nous avions acheté un « pass » relativement économique. Le Géoguide Gallimard Châteaux de la Loire est complet et très pratique ! Tous les châteaux y sont documentés. Nous avons également ramené un petit guide illustré Aedis de notre séjour. Il est concis mais très bien pour les enfants par exemple.

Le château de Chambord appartient au style Renaissance. François 1er ordonne sa construction en 1519, mais ne le verra jamais terminé. Ce palais royal n’est pourtant pas destiné à devenir une résidence du quotidien. Le souverain n’y séjourne que quelques semaines par an. Il faut dire que les conditions de vie y sont tout de même difficiles (le château est construit sur des marécages). La Salamandre, emblème de François 1er, est présente partout, jusque sur les plafonds.

La structure s’articule autour d’un incroyable escalier à doubles-hélices, inspiré par Léonard de Vinci. Ainsi le roi pouvait éviter de croiser ses serviteurs par exemple. Léonard de Vinci travaillait au service du Roi à cette époque, mais l’artiste est décédé avant la construction du château.

L’édifice sera achevé sous le règne de Louis XIV. Les jardins et les écuries sont ensuite aménagés. Le Roi Soleil y réside à plusieurs reprises en compagnie de sa cour. En 1670, Molière y présente pour la première fois sa célèbre comédie le Bourgeois gentilhomme.

Au fil de l’histoire, le château résiste. Il change régulièrement de propriétaire. Il échappe à la destruction lors de la Révolution. En revanche, le château est pillé et le mobilier est vendu. Depuis 1981, le château de Chambord figure sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Comme d’habitude, ces superbes photos ont été prises par Monsieur l’amoureux, dont vous pouvez découvrir le compte Unsplash ou suivre ses nouvelles aventures dans la photographie astronomique sur le blog Codastro.

Bisettes !

100Bon : des parfums naturels et green

Les parfums 100Bon sont élaborés à Grasse, à partir d’alcool de blé bio. La parfumerie 100Bon n’a pas recours à la pétrochimie ni aux molécules de synthèses, contrairement aux parfums classiques disponibles dans la plupart des parfumeries. Leurs fragrances sont naturelles. En effet, elles proviennent d’ingrédients naturels et des végétaux.

Les packagings sont à la fois élégants et écologiques. En effet, le verre est un contenant très intéressant. D’une part, parce qu’il s’agit du seul matériau recyclable à l’infini. D’autre part, les flacons en verre 100Bon sont rechargeables. Le petit entonnoir fourni avec la recharge est très pratique. C’est un jeu d’enfant de recharger son parfum naturel de façon écologique !

Le flacon d’eau de parfum Amaretto & framboise, ainsi que sa recharge m’ont été offerts par la grand-mère de Monsieur l’amoureux à Noël. L’odeur est légère et beaucoup plus subtile que les parfums que je portais depuis plusieurs années (Narciso Rodriguez notamment) maisc’est une question d’habitude. Les prix des parfums 100Bon sont très abordables. D’autant plus que les recharges s’avèrent économiquement intéressantes. Les parfums en parfumerie classique ne sont pas donnés et apparemment, ils polluent nos intérieurs et notre peau si on en croit l’article publié par UFC Que choisir.

Il n’est jamais simple d’acheter un parfum en ligne. J’ai d’ailleurs beaucoup hésité avant de me décider. J’aurai bien aimé pouvoir me rendre dans la jolie boutique 100Bon de Lyon mais c’est très loin de Rennes !!! Aussi, j’avais opté pour le sachet « découverte » qui m’avait permis de découvrir tout le panel de fragrances proposées par la marque lyonnaise l’année dernière. Cependant, la marque ajoute désormais un échantillon et une étiquette de retour prépayé avec chaque flacon commandé. Ainsi, vous testez l’échantillon et si celui-ci ne vous convient pas, vous avez la possibilité de retourner le flacon intacte.

Connaissiez-vous ces parfums naturels ? Les avez-vous déjà testés ? Si oui, n’hésitez pas à me donner votre avis !!

Bisettes !

Qui descendra les poubelles ?

La bande dessinée Qui descendra les poubelles ? est un véritable coup de cœur. Elle a été écrite et illustrée par Nat Mikles, et est parue aux Éditions Rue de l’échiquier. L’ouvrage est imprimé en France sur du papier composé de fibres naturelles renouvelables, recyclables et fabriquées à partir de bois provenant de forêts gérées durablement (certifiées FSC). Il se lit très vite et pour tout vous dire, je l’ai lu en patientant pratiquement 2h dans une salle d’attente. La thématique était tellement intéressante que je n’ai pu m’empêcher de lire cette bande dessinée d’une seule traite.

J’ai beaucoup aimé l’humour qui accompagne les informations pertinentes, en lien avec l’association Zero Waste France. Personnellement, je mets déjà en application la plupart des conseils présentés dans cet ouvrage. La bande dessinée Qui descendra les poubelles ? sera parfaite comme idée de cadeau à offrir à des proches néophytes en matière de développement durable. En effet, la bande dessinée a le mérite de sensibiliser aux écogestes du quotidien en les démystifiant. Elle parvient à démontrer que non, bien agir pour la planète n’est pas aussi compliqué que certains voudraient nous le faire croire. Parfois, il s’agit seulement de faire preuve de bon sens.

Le synopsis ? Monsieur Tout-le-Monde voit son grille pain rendre l’âme un beau matin. Il s’interroge alors : Que faire ? Dois-je le jeter dans la première poubelle venue ? Le passer par la fenêtre ? Le secouer un bon coup ? Lao Tseu survient par surprise afin de partager sa vision circulaire des choses et du monde…Plusieurs personnalités vont intervenir tout au long de l’ouvrage. Elles présentent plusieurs solutions écologiques pour prendre soin de l’environnement et réduire considérablement ses déchets au quotidien. Ainsi, Lavoisier vient évoquer les filières spécialisées, La Fontaine répertorie les emballages, Pasteur décrit le principe du compost et Darwin, celui du lombricomposteur, etc. Ils nous informent également sur le pétrole, l’incinération des déchets ou encore les produits ménagers du commerce. Ces pratiques s’inscrivent dans notre quotidien bien qu’on ne suspecte pas leur impact environnemental ou sanitaire. Les idées reçues trouvent également une explication concrète.

Bref, vous l’aurez compris, la bande dessinée Qui descendra les poubelles ? propose des solutions et des alternatives qui permettront de réduire considérablement sa production de déchet. Désormais, nous réfléchissons à changer la taille de notre poubelle car nous en descendons de moins en moins depuis que nous avons définitivement adopté quelques-unes de ces recommandations. Nous consommons en vrac et nous cuisinons des fruits et légumes frais biologiques de saison. De plus, nous avons opté pour des solutions lavables comme les lingettes lavables pour se démaquiller ou des sacs lavables pour nos courses. Nous sortons toujours avec une gourde et un tote bag. Enfin, nous avons entrepris de composter nos déchets végétaux et privilégions les contenants en verre lorsque nous ne trouvons pas le produit en vrac.

Et vous ? Vous sentez-vous concernés par ce sujet ? Qu’avez-vous mis en place à la maison pour réduire vos déchets ? Quels sont vos trucs et astuces pour limiter votre empreinte carbone ?

Bisettes !

Petit jardin d’aromates par La Box à planter [graines biologiques]

L’année dernière, je vous avais présenté mon premier petit « potager » de balcon. Bien que fille de jardinier, je dois bien reconnaître que je n’y connaissais rien, et que les conseils de mon papa se sont avérés utiles puisque je suis assez fière de vous dire que non seulement, mon potager n’a pas rendu l’âme au bout de 15 jours comme je le craignais, mais surtout, mon potager est toujours là, et reparti de plus belle. Mon papa m’avait prévenu, j’aurai dû retirer mes plants, après qu’ils soient montés en graines à la fin de l’été, mais, j’ai opté pour une totale liberté octroyée à mon jardinet de balcon. La nature a donc repris ses droits. J’ai continué à l’arroser tout l’hiver, j’ai continué à enlever les feuilles mortes, etc. Nous avons toujours des tomates cerises qui poussent. Le persil, l’estragon, l’origan, le romarin et la ciboulette revivent. La menthe, esseulée dans son pot en terre cuite également. Seules les deux variétés de thym n’ont pas survécu. Cette année, j’aimerai donc tenter de continuer mes expérimentations, mais cette fois, en partant de graines biologiques et non, de plants biologiques. Le coffret Petit jardin d’aromates commercialisé par La Box à Planter me semblait parfait pour ce nouveau challenge.

Je me le suis offert l’année passée, mais je n’ai pas eu le courage d’essayer. J’ai eu peur de « gâcher mes graines » ne sachant comment m’y prendre. J’aurai pourtant dû faire confiance aux  recommandations de La Box à Planter. Il me suffisait de suivre les précieux conseils fournis par leur petit guide, intégré à la box. J’avance doucement. Maintenant que j’ai un peu plus confiance dans mes aptitudes à cultiver des aromates, je me sens pousser des ailes. Cette année, je vais essayer de faire pousser mon propre basilic pourpre, et j’espère bien y parvenir. Ainsi, je pourrai cuisiner la recette de pesto qui se trouve également dans ce petit guide bien pensé. Si vous souhaitez également vous y mettre, c’est le moment idéal pour réaliser vos semis. D’autant que cette année, la météo est plutôt clémente.

La box Petit Jardin d’aromates coûte 23€ et contient un livret explicatif ainsi que cinq sachets de graines biologiques : Basilic pourpre, Cerfeuil commun, Ciboulette polyvit, Coriandre et Persil Vert foncé. Elle contient également un crayon Sprout. Il s’agit d’un crayon à papier, avec une capsule de graines biologiques au bout. Vous utilisez donc normalement votre crayon de bois. Puis, lorsque celui-ci est devenu trop petit, il suffit de le planter en terre pour voir ses graines prendre vie. J’adore le concept zéro déchet !

Il existe d’autres thématiques commercialisées sur la boutique en ligne de La Box à planter : Apéro 100% bio, jardin merveilleux, flower power, douce provence et bee my love. Vous pouvez également vous abonner (1 box par saison) ou offrir la box à un proche.

Nous avons acheté un eucalyptus cet hiver, et j’aimerai beaucoup réussir à faire pousser des plantes pour les papillons et les abeilles sur notre balcon, ainsi que de la lavande car cela nous permettrait d’éloigner les moustiques naturellement. Et vous, des envies de jardinage avec ces premiers rayons de soleil ?

Je vous montrerai l’évolution de notre « balcon-jardinet » sur Instagram :).

Bisettes !

Sapin naturel versus sapin artificiel : quel choix pour la planète ?

Cette année, j’ai émis l’idée d’accueillir un sapin naturel pour les fêtes de fin d’année. Mon mari, toujours bienveillant, m’a fait remarqué que cette envie n’était pas très cohérente avec mes choix du quotidien en matière d’écologie. Aussi, nous avons commencé à en discuter, voire même, à en débattre. Il s’est dit que je devrai partager ce type de réflexion sur mon blog, car nous n’étions probablement pas les seuls à nous poser cette question et bien d’autres. L’idée même de vouloir avoir un sapin de Noël est pour lui, représentatif de cette surconsommation que l’on nous pousse à perpétrer, par tradition ou par pression sociale. Ben oui, l’envie de faire comme tout le monde en gros. En même temps, est-ce mal de vouloir célébrer Noël comme tout le monde ? Cela passe-t-il nécessairement par la décoration d’un sapin de Noël ? Devrai-je culpabiliser d’oser en avoir envie ? Puis-je me permettre de faire passer cette envie (car il ne s’agit clairement pas d’un besoin) avant la protection de la planète ? Je suis pourtant convaincue de la nécessité de faire attention au quotidien. J’achète peu désormais, j’essaie de voir si je peux m’en passer, et surtout, lorsque cela est possible, je privilégie un choix éthique et écologique… Ce n’est pas du tout de cela que je souhaite vous parler aujourd’hui, mais cela dit, j’aimerai bien avoir votre avis en commentaire. Je dois bien reconnaître que parfois, faire de son mieux est un vrai casse-tête. Je suis régulièrement tiraillée entre une envie simpliste de « norme » et la conviction qu’il faut consommer différemment. D’autant plus, lorsque j’apprends qu’en France, chaque année, 6 millions de sapins sont consommés (5 millions de sapins naturels et 1 million de sapins artificiels).

(Crédit photo : Joanna Kosinska)

Les atouts du sapin naturel

Il faut savoir que rares sont les personnes qui vont réellement couper leur sapin dans la forêt. En réalité, les sapins sont cultivés en vue d’être commercialisés pour les fêtes de fin d’année. Selon l’Association Française du Sapin de Noël Naturel (groupement de producteurs écoresponsables), la culture de sapins participerait à la protection de la planète car c’est pendant leur croissance que les sapins absorberaient le plus de dioxyde de carbone (CO2). Un jeune sapin parviendrait à en capturer environ 3 kg durant sa courte existence. En réduisant le CO2 dans l’atmosphère, les sapins participent donc à limiter les gaz à effets de serre, responsables du réchauffement climatique. Écologiquement, il serait alors préférable de couper les sapins jeunes, afin de les remplacer par d’autres, qui à leurs tours, absorberont beaucoup de dioxyde. Les racines des sapins coupés ont le temps de créer des ramifications dans le sol, qui sont très bénéfiques pour l’environnement d’année en année (réduction de l’érosion des sols et des inondations). Les sapins naturels sont biodégradables. Il convient d’éviter les sapins naturels floqués (couverts de neige artificielle) car le produit utilisé est rarement sain. De plus, le sapin ne pourra plus être composté par la suite. Le bénéfice du choix d’un sapin naturel est réel si ce dernier est composté ou broyé après les fêtes, pour faire du paillage par exemple. Les grandes villes mettent souvent en place une collecte pour broyer ou composter les sapins naturels des particuliers. Il faut éviter de mettre un sapin naturel dans la cheminée, car il recrache beaucoup de CO2. Le bénéfice de sa culture est alors réduit à néant. De plus, la culture et la vente du sapin de Noël naturel français soutiendrait l’économie locale par la création d’emplois. Encore faut-il s’assurer que le sapin de Noël choisi soit bien français (80 % des sapins vendus en France sont cultivés dans l’hexagone. Source : Ademe). Il est également judicieux d’attendre la période de coupe (première quinzaine de décembre) pour acheter son sapin.  Ceci permet la garantie d’un sapin frais. En effet, certains magasins et grandes surfaces commencent à stocker des sapins naturels dès le mois de novembre. Ceci contraint donc leurs producteurs à pulvériser des fixateurs polluants sur les sapins afin de maintenir les aiguilles en place.

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(Crédit photo : Alisa Anton)

Quels labels pour les sapins naturels ?

Plusieurs labels existent. « À l’achat, privilégiez les sapins de Noël certifiés Plante Bleue ou Fleurs de France qui sont issus de productions agricoles raisonnées. Il existe même des sapins labellisés bio, cultivés donc sans pesticides spécifiquement pour les fêtes de fin d’année par des producteurs passionnés. Des sapins bio sont cultivés dans les Pyrénées Ariégeoises ; on peut même les commander en ligne sur France Sapin Bio«  (source : Consoglobe). Il faut savoir que 99% des sapins vendus en France sont cultivés avec des produits phytosanitaires de synthèse ! Les sapins de Noël ne peuvent pas bénéficier des labels FSC car il s’agit le plus souvent de produits agricoles et non forestiers. Le label FSC garantit un mode de gestion durable et responsable des forêts. « Le sapin Nordmann est plus résistant et conserve ses aiguilles plus longtemps, mais il vient très souvent du Danemark en camion frigorifique. Le sapin épicéa est plutôt français (sinon, il est Belge), donc son impact écologique est moindre. Si vous optez pour l’épicéa, n’achetez pas trop tôt votre sapin. La première quinzaine de décembre semble être la bonne période. Enfin, il est tout à fait possible d’opter pour un sapin naturel en pot. J’avais opté pour cette option l’année dernière. Il n’était pas très grand (environ 40cm) et j’avais l’espoir de le replanter chez mes parents. Hélas, malgré les soins apportés, il n’a pas survécu. Il a donc été composté.

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(Crédit photo : Roman Kraft)

L’impact écologique des sapins artificiels

Même si vous en prenez soin et qu’il vous dure des années, le sapin artificiel en plastique n’est pas du tout écologique. Sa production est très polluante puisqu’il est fabriqué à partir de pétrole (plastique = pétrole) et d’aluminium. Souvent, ses branches en PVC sont peintes avec des peintures spéciales très polluantes, qui le protègeront des guirlandes électriques, par exemple. Ils relarguent donc des perturbateurs endocriniens et des substances volatiles relativement dangereuses à long terme. Certaines sont suspectées d’être cancérigènes par exemple. De plus, il vous faudra un jour vous en séparer, et à l’heure actuelle, toute particule de plastique qui voit le jour est condamnée à demeurer présente. Le plastique ne disparaît jamais complètement. On en retrouve des particules sur des plages de sable, dans les océans et même dans nos corps (via l’ingestion de poissons notamment). De plus, les sapins artificiels sont souvent produits en Asie, l’acheminement vers la France alourdit encore leurs empreintes carbones. En moyenne, un sapin artificiel est renouvelé tous les 6 ans, ce qui ne suffit pas à compenser l’empreinte énergétique liée à sa fabrication. Dans l’idéal, il faudrait le conserver 20 ans. Une alternative écologique de sapin artificiel pourra être fabriqué à partir de bois certifié FSC (Forest Stewardship Council) ou de métal par exemple. Il faut dans ce cas privilégier un sapin solide, qui pourra servir plusieurs années et fuir les peintures non certifiées écologiques. Elles empoisonnent l’air de votre intérieur. Plusieurs entreprises proposent des sapins alternatifs comme le sapin en carton Orki ou encore le sapin en bois Lovi. Le tissu peut également être une bonne option. Ikea en avait commercialisé un il y a quelques années. Cependant, il peut être très facilement fabriqué. Cela peut donner lieu à une activité ludique à faire avec des enfants.

(Crédit photo : Beatriz Perez Moya)

La location d’un sapin naturel comme alternative

Il est également possible de faire appel à un service de location de sapin naturels pour les fêtes. L’entreprise Treezmas, rachetée par l’enseigne Botanic, propose ce service. Les sapins grandissent en pot dans des champs, ils ne sont pas coupés. Leurs racines sont intactes. Ils sont livrés en pot et sont donc toujours vivants. Le sapin sera ensuite repris après les fêtes pour être replanter ou recycler. Les sapins naturels à recycler seront transformés en copeaux de bois servant dans les parterres fleuris. Les sapins naturels à replanter sont envoyés en Isère, où un spécialiste stocke d’abord ces derniers dans un endroit plus frais que les habitations afin de les réhabituer en douceur à leurs conditions de vie en extérieur. Ils sont ensuite replantés dans les champs où ils reprennent leur croissance, pour pouvoir être à nouveau proposés à la location trois ans plus tard. Cependant, il est compliqué pour un sapin en pot de continuer à grandir au-delà de 7 ans. Les sapins de cet âge sont définitivement replantés et ne seront plus proposés à la location. L’entreprise Ecosapin (entreprise suisse) propose le même service.

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(Crédit photo : Joanna Kosinska)

En définitive, nous envisageons de faire le choix d’un sapin bio afin d’encourager le mode de culture que l’on soutient déjà au quotidien. Et vous, allez-vous faire un sapin cette année ? Si oui, quel sera votre choix ?

Bisettes !

Quel matériel pour débuter l’aquarelle ?

Si vous me suivez sur Instagram, vous avez pu découvrir presque chaque jour, une nouvelle aquarelle. J’en profite d’ailleurs pour vous remercier pour vos gentils petits mots. Il se trouve que j’ai peint ma première aquarelle le 30 août dernier, après avoir admiré celles de plusieurs artistes coups de coeur dont je vous parlerai un peu plus tard. L’idée me séduisait de plus en plus, et j’ai finalement sauté le pas. Aussi, je me suis dis que j’allais vous faire profiter de mes nombreuses recherches sur le sujet et vous éviter les déconvenues, si à votre tour, vous souhaitez vous lancer.

Tout d’abord, je suis autodidacte. Comme c’était le cas pour la couture, je reste persuadée que le meilleur apprentissage consiste à s’exercer et à apprendre de ses erreurs. L’observation est primordiale, mais les outils ont également leur importance. Tout était à apprendre et tout l’est toujours, tellement cette technique de peinture à l’eau est réputée difficile.

Quelle peinture pour débuter l’aquarelle ?

Nous avons d’abord acheté une petite palette basique (marque Van Gogh), car je ne savais pas à quoi m’attendre. Allais-je aimer ou pas ? En plus, je ne connaissais pas encore grand chose aux couleurs et marques réputées dans le domaine. Sincèrement, je ne vous la recommande pas. Les couleurs manquent cruellement de luminosité. Je les trouve plus ternes. Monsieur l’amoureux, lui, me conseillait de choisir une palette vide, et ensuite, d’acheter les demi-godets de peinture aux coloris qui me plairaient, au fur et à mesure de mes besoins. C’était effectivement un excellent conseil que j’ai fini par suivre ! La peinture est proposée sous différentes formes : godets, demi-godets, tubes, crayons, craies, etc. En ce qui me concerne, les demi-godets ont ma préférence, bien que j’ai déjà acheté quelques tubes. Les demi-godets peuvent être remplis avec la peinture contenue dans les tubes, lorsqu’ils seront vides. Il suffit de laisser sécher toute une nuit. C’est beaucoup plus économique !

Par contre, les tubes contiennent davantage de pigments. Les couleurs issues des demi-godets sont beaucoup plus douces. Tout dépend de vos goûts. J’ai acheté certaines couleurs en demi-godets et en tubes afin d’avoir des nuances très différentes. Pour la petite astuce, le blanc et le noir sont inutiles en aquarelle. Pour éclaircir une couleur, on lui ajoute de l’eau et non du blanc, comme c’est le cas pour la gouache. Le noir est à éviter car il fonce tellement la couleur que l’on obtient de nouveau du noir. Le gris de Payne est parfait pour foncer une couleur et conserver quelques subtilités. En ce qui concerne les couleurs, il existe trois niveaux de qualité des pigments : aquarelle fine, super-fine et extra-fine. J’achète principalement des demi-godets Sennelier (français et fabriqués en Bretagne, à St Brieuc). J’ai également quelques tubes et demi-godets Winsor & Newton (fabriqués en France). Tous les deux sont réellement réputés dans ce domaine pour la qualité de leurs pigments (aquarelle extra-fine), leurs tenues et enfin, la luminosité de leurs couleurs. Sennelier ajoute d’ailleurs du miel à leurs pigments.

Quel pinceau pour débuter l’aquarelle ?

Je possédais quelques pinceaux car comme tout le monde, il m’est arrivé de peindre une petite étagère ou bien des petits cadres par le passé. Cependant, il est important de choisir un pinceau adapté à l’aquarelle, et donc, pensé pour retenir l’eau. J’ai désormais plusieurs pinceaux qui sont parfaits. Le type de poils est très important. J’ai privilégié des poils véritables (petit gris pur), en étant persuadée que c’était plus naturel et que les poils étaient prélevés par brossage. J’ai donc sélectionné les pinceaux Raphaël de la gamme 803 en taille 0 et 00. Depuis, j’ai lu que les animaux seraient le plus souvent décédés et que certains poils proviendraient d’animaux élevés pour leur fourrure. Je regrette donc beaucoup de ne pas avoir pu vérifier ces propos. D’ailleurs, si vous en savez plus que moi à ce sujet, n’hésitez pas à partager vos connaissances en commentaires. Je privilégie actuellement le pinceau Softaqua 805 (toujours chez Raphaël) en taille 0 et j’en suis très satisfaite. Le poil est synthétique mais sincèrement, je ne vois pas trop de différence pour le moment. J’essaie d’avoir peu de pinceaux mais j’y mets le prix sans hésiter car un bon pinceau durera très longtemps. J’ai choisi la marque Raphaël car celle-ci est fabriquée par la même entreprise qui fabrique les couleurs Sennelier et les pinceaux Isabey à St Brieuc, en Bretagne. En tant que Bretonne, j’essaie de privilégier les productions locales afin de préserver l’emploi localement, par mes choix de consommation. J’essaie, même si j’ai bien conscience que ce n’est pas toujours facile ou possible.

Quel papier pour débuter l’aquarelle ?

Pour débuter, l’idéal est un papier pour aquarelle avec un grammage d’au minimum 300gr/m2. Privilégiez les blocs « collés 4 côtés » afin d’éviter que le papier ne se mette à gondoler sur les côtés. Il suffit de détacher votre feuille après séchage, à l’aide d’un cutter de précision. Il existe également plusieurs types de grain : satiné, fin ou torchon. Le satiné est très agréable car on maîtrise mieux la progression des pigments, mais le grain fin a ma préférence. La petite texture est très jolie et plus adaptée, à mon humble avis, à un travail artistique. Pour le moment, j’évite le papier 100% coton car j’apprends encore. Mes aquarelles ne méritent pas un tel support, qui est forcément plus onéreux. De plus, je n’ai pas encore trouvé de papier 100% coton avec la mention « coton biologique ».  Si je fais attention à cela pour notre dressing et notre linge de maison, je souhaite en faire de même avec l’aquarelle. J’ai déjà eu l’occasion de tester plusieurs blocs. Le bloc de 12 feuilles « Montval » de Canson est très bien en grain fin. Il existe en plusieurs formats (j’utilise un format carte postale ainsi qu’un bloc 24cmx32cm). Le bloc Aquarelle XL de Canson est très abordable. Je le privilégie pour les exercices. Par contre, il a tendance a se recourber sur les côtés, une fois mouillé. Pour éviter cela, on peut utiliser du scotch de peintre afin de bien tendre la feuille ou disposer des poids tout autour de la feuille. Les papiers sont labellisés FSC (label sérieux pour la préservation de l’environnement). Je viens de commander un bloc de 100 feuilles de papier aquarelle « Le Rouge » de Hahnemühle (Moulin du Coq) en 24x32cm (beaucoup plus économique à long terme). Je ne vous le cache pas, le papier est un gouffre financier et écologique ! Alors, je retourne mes feuilles autant que possible afin de les peindre recto/verso. D’autant que pour les débuts, sincèrement, il est important de s’exercer avec le dosage en eau et en couleur. L’esthétique n’est pas forcément au rendez-vous… J’ai cherché du papier recyclé, comme celui que j’utilise pour mes cours de dessin, mais je n’ai rien trouvé. Peut-être auriez-vous une recommandation à me faire ?

Une petite astuce écologique : inutile d’acheter un savon spécial pour nettoyer correctement vos pinceaux. Personnellement, j’utilise du savon de Marseille, tout simplement.

Dernière précision : j’achète toutes mes fournitures au magasin Le géant des Beaux-Arts du centre-ville de Rennes. C’est à quelques rues de chez moi, l’équipe est très gentille et en plus, je bénéficie de 15% de remise sur mes achats en étant inscrite dans une association (Cours de dessin).

Bisettes !

Mon atelier beauté aux huiles essentielles

Comme vous le savez, cela fait bientôt deux ans que je ne consomme plus de produits de beauté conventionnels (en dehors du déodorant et du dentifrice, sur les recommandations de mes collègues de bureau et de mon dentiste ;)). Nous faisons la chasse aux perturbateurs endocriniens ainsi que les autres substances toxiques pour la santé et l’environnement. Désormais, seules les huiles végétales de première pression à froid, l’aloe vera, les hydrolats et les shampoings solides issus de l’agriculture biologique sont acceptées dans notre salle de bain. Bon, il y a également les argiles, les savons solides (saponifiés à froid, d’Alep ou de Marseille), le bicarbonate de soude, et les huiles essentielles. Dernièrement, j’ai dû réutiliser des soins bio prêts à l’emploi, achetés à la Biocoop, à la composition clean, et ça m’a fait tout bizarre. Ma peau ne semblait plus habituée et surtout, elle ne semblait plus apprécier. Il me restait encore une étape que je n’avais pas osé franchir avant de recevoir la box des Biotonomes, celle de la préparation cosmétique. Après tout, je passe des heures dans notre cuisine, à tout préparer maison. Pourquoi ne pas tenter de « cuisiner » nos soins beauté ?

Les Éditions La Plage ont eu la gentillesse de me faire parvenir une véritable bible dédiée aux soins beauté maison. Le livre Mon atelier beauté aux huiles essentielles est composé de 351 pages et a été écrit par Danielle Sade. Cet ouvrage est tellement complet ! Il s’adresse aussi bien aux débutants, qui souhaitent découvrir les produits cosmétiques naturels et bruts, qu’aux initiés. Personnellement, je me situe désormais entre les deux et il me reste tellement à apprendre que ce guide très bien conçu tombait à pic !

Au début de l’ouvrage, on découvre la peau et son fonctionnement. Ça peut paraître logique, mais beaucoup de livres (et croyez-moi, j’en ai lu un bon paquet sur le sujet) font l’impasse sur cette partie. C’est tout de même dommage de ne pas comprendre son fonctionnement, ce qui va l’impacter ou apprendre à identifier son type de peau afin de lui prodiguer les soins dont elle a besoin. Le B.A-ba de la préparation de produits de beauté est également passé en revue comme l’hygiène, les réactions, les substances qui peuvent causer ces réactions, les conservateurs, les conditionnements, etc. J’ai bien aimé le rappel des substances chimiques à éviter.

La première section s’intéresse aux ingrédients de base comme les matières premières naturelles, les huiles support, les beurres végétaux ainsi que les macérats. La seconde partie va traiter des huiles essentielles, qui nous intéressent particulièrement dans cet ouvrage. Après avoir lu les informations indispensables avant la manipulation et l’utilisation d’huiles essentielles, chacune d’entre elles est étudiée afin de découvrir l’ensemble de ses propriétés. Trente-six huiles essentielles sont ainsi présentées. C’est largement suffisant pour élaborer des soins maison ciblés !

Cent recettes sont également proposées. C’est énorme ! Vous trouverez forcément votre bonheur ! Il faut différencier les recettes de base, et les recettes ciblées. On apprend à faire une recette neutre, puis, on peut la personnaliser en fonction de ses besoins. Vous pourrez prendre soin de votre visage et préparer des nettoyants , des toniques, des crèmes hydratantes, des sérums, des masques, des exfoliants.

Le corps n’est pas en reste puisque vous trouverez des recettes pour élaborer des nettoyants, des huiles et lotions, des produits pour le bain, des déodorants. Enfin, vous trouverez tout un chapitre dédié à la femme enceinte et/ou allaitante, ainsi qu’un chapitre pour les soins dédiés aux hommes. Deux véritables bonus ! Ces deux dernières thématiques ne sont que trop rarement traitées !

Pour conclure, j’espère que vous l’aurez compris, je suis conquise. J’espère vous présenter prochainement sur Instagram mes soins de beauté maison et sains ! Un pas de plus pour la réduction de nos déchets et la préservation de notre planète. À ce sujet d’ailleurs, je lisais un article, ce matin, sur les shampoings solides. Celui-ci expliquait qu’en « l’espace de six décennies, l’être humain a produit 6,3 milliards de tonnes de déchets plastiques dont seuls 9% ont été recyclés. […] En prenant l’exemple du shampoing, si nous le fabriquions nous-même sous forme solide, nous pourrions remplacer les 552 millions de bouteilles de shampoing en plastique achetées annuellement. La plupart des shampoings solides représentent l’équivalent de trois bouteilles de shampoing liquide, soit jusqu’à 80 lavages des cheveux. Un intérêt aussi bien écologique qu’économique. » Ceci vaut évidemment pour l’ensemble des produits de beauté !

Bisettes !

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