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Mes premières plantes aromatiques de balcon

Je ne suis pas peu fière. Je m’en faisais tout un monde, et jusqu’à présent, j’ai l’impression que mes premières plantes aromatiques ne se portent pas trop mal. Il faut dire que j’ai beaucoup potassé le sujet avant de me lancer. Mine de rien, c’était un petit investissement de départ entre les bacs, le terreau et les godets à rempoter.

Première exigence, et pas des moindres, trouver des plants issus de l’agriculture biologique. Nous avons trouvé les nôtres chez Truffaut mais la Biocoop en propose également dès courant avril. Dès le 2 avril, j’étais dans le magasin à parcourir l’arrivage disponible, en repérage. Ensuite, il a fallu observer un peu notre balcon : Quelle place disponible ? Quel poids avons-nous envie de faire supporter à la structure puisque nous vivons en étage ? Et enfin, quel est l’ensoleillement disponible sur notre balcon ? De la même manière que l’aménagement d’un appartement doit s’adapter à l’appartement, vos plantes aromatiques devront se contenter des conditions d’ensoleillement et d’exposition au vent offertes par votre extérieur.

Notre balcon est tout en longueur, nous souhaitions donc des jardinières rectangulaires. Nous ne voulions pas de bacs en plastique. Les pots en terre sont ce qu’il y a de mieux mais nous avions peur du poids global. Finalement, nous avons opté pour des petites jardinières en bois certifié FSC (le top du top). Petit plus, le bois provient des Alpes et le prix n’est pas excessif pour des bacs que nous espérons conserver très longtemps. Dernier avantage : ces pots ne craignent pas le gel. C’est un argument important car ils sont destinés à passer l’hiver dehors, et que les températures sont parfois négatives en Bretagne l’hiver. Et puis nous les trouvions plutôt décoratifs.

Le secret, pour cultiver facilement des plantes aromatiques sur son balcon, consiste à choisir des aromates pour lesquels vous pourrez facilement reproduire leurs conditions de vie au naturel. Le parfait contre exemple : Nous avons acheté deux variétés de thym. Elles ont pris place dans une jardinière avec le même terreau potager que celui utilisé pour notre ciboulette et notre plant de tomates cerises. Alors que le thym se développe au naturel dans la garrigue, un milieu plutôt rocailleux et sec. Je ne sais pas si ces deux variétés vont réussir à s’épanouir chez nous, mais jardiner, c’est également expérimenter.

Pour débuter, j’ai lu à plusieurs reprises qu’il était préférable de s’intéresser aux godets à rempoter plutôt qu’aux graines, dont la culture est longue et peut facilement faire baisser les bras. La plupart du temps, il faut commencer les cultures en intérieur tant qu’il fait froid à l’extérieur. En ce qui concerne les godets, le rempotage est simple : il suffit de faire tremper la motte avec le plant dans de l’eau afin de bien humidifier les racines, de verser des billes d’argiles au fond de votre jardinière afin de bien drainer l’eau, et de privilégier un terreau potager (utilisable dans « agriculture biologique ») riche en nutriments. Surtout, il ne faut pas hésiter à bien arroser après le rempotage, mon papa m’a confié que c’était une astuce de jardinier. Autre astuce de jardinier : isoler la menthe. Apparemment, elle se développe très bien (et ça se vérifie chez nous) et prend le pas sur les autres aromates lorsqu’elle doit cohabiter dans un pot. Enfin, il faut savoir qu’il existe deux types de plantes aromatiques : les annuelles et les vivaces. Les annuelles sont celles qui vivront leur cycle complet en une année, quoique vous fassiez. Il faudra donc racheter des godets à rempoter chaque année. Les plantes vivaces sont celles qui peuvent repousser chaque année. « Dès l’automne, la partie aérienne de ces aromatiques vivaces va sécher. Pas de panique, il n’y a rien de plus normal ! Laissez-les en l’état pendant l’hiver et au printemps suivant, il suffira de couper les feuilles sèches pour assurer la nouvelle pousse… Magique ! » (source : lapausejardin.fr).

Nous nous sommes fixés plusieurs objectifs cette année pour notre premier essai. Je les partage avec vous, comme dans un journal de bord, afin de m’en souvenir l’année prochaine, et nous ferons le point sur ce qui a fonctionné ou pas. Ainsi, nous pourrons apprendre et progresser ensemble si ça vous dit. D’ailleurs, n’hésitez pas à me communiquer vos trucs et astuces pour la culture de vos plantes aromatiques sur votre balcon. Tout d’abord, réussir à garder nos plants en vie jusqu’à la fin de l’été. Cela peut sembler facile mais je sais d’expérience qu’il est fréquent de trop arroser ou ne pas suffisamment arroser son potager. Trouver le juste milieux vient avec l’expérience. J’ai demandé conseils à mon papa qui est jardinier et fait pousser tous ses légumes depuis près de 40 ans. On verra bien avec le temps. Ensuite, nous souhaitons manger des tomates cerises issues de notre plant. Si cela fonctionne, on consacrera toute une jardinière aux tomates cerises l’année prochaine. Si la ciboulette et le persil survivent, nous doublerons les doses à rempoter afin d’en avoir suffisamment pour ne plus avoir besoin d’acheter des pots biologiques « prêts à consommer ». Si nos plantes aromatiques s’épanouissent, nous nous intéresseront au basilic (plante annuelle) car nous adorons le pesto ainsi qu’aux fraises car Monsieur l’amoureux adore la tarte aux fraises ! Enfin, le but ultime : réussir à faire repartir nos plantes vivaces l’année prochaine.

À l’heure actuelle, nous cultivons de la menthe, de l’origan, du persil, deux variétés de thym (nous en consommons tout l’hiver), du romarin, de l’estragon, de la ciboulette, un plant de tomates cerises. Et nous adorons nous occuper de notre petit potager chaque soir, avec Monsieur Chat qui joue les curieux. Pour tout vous dire, ces photos datent d’il y a déjà deux mois, et tout a bien poussé depuis !!!

Et vous ? Aimez-vous jardiner ? Avez-vous également un petit coin potager sur votre balcon ? Ou peut-être un vrai jardin potager comme mon papa ? C’est en tous cas très valorisant d’accompagner la nature dans son travail et de comprendre le cycle des plantes.

Bisettes !

Les Biotonomes par Biocoop [concours]

Connaissez-vous les Biotonomes ? Il s’agit d’une initiative de la Biocoop, qui vise à sensibiliser les consommateurs. Consommer bio et consommer juste. C’est justement le chemin que Monsieur l’amoureux et moi-même avons emprunté il y a bientôt deux ans. Sur ce blog, je tente à mon niveau, de partager avec vous mes découvertes et astuces afin de consommer de façon plus saine et responsable. En effet, notre façon de nous nourrir, de prendre soin de nous, de nous habiller et de vivre au quotidien a un réel impact sur notre santé et sur l’environnement. On ne peut sciemment l’ignorer. J’affectionne tout particulièrement ces deux expressions : « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants » (proverbe africain cité dans « Terre des Hommes » de Saint-Exupéry) et  » Que ton alimentation soit ta première médecine » (Hippocrate). Elles illustrent parfaitement l’importance de consommer bio et la nécessité d’être plus autonomes (=biotonomes). Désormais, nous faisons nos courses à la Biocoop chaque semaine. Nous avons la chance d’avoir une petite Biocoop de centre ville, avec une grande offre de produits en vrac ainsi que des fruits ou légumes locaux et de saison. L’engagement de la Biocoop, qui oeuvre pour une consommation plus juste pour le consommateur et le producteur nous plaît également. L’assurance de consommer des produits sains, dépourvus d’additifs douteux ou de pesticides, et sélectionnés avec soin, nous rassure également. Il existe tellement de trucs et d’astuces pour consommer moins mais mieux. L’hygiène et la cuisine ont fait partie des premiers grands bouleversements à la maison. Mais il nous reste encore beaucoup à apprendre. Aussi, j’apprécie des initiatives comme celle des Biotonomes.

Du 1er au 16 juin 2018, des opérations de sensibilisation auront lieu dans 419 magasins Biocoop. Vous pourrez ainsi fabriquer un éco-produit naturel et bio au cours d’un atelier DIY sur le « faire soi-même ». Un jeu (« cherche et trouve le jeton pour gagner un cadeau ») qui porte sur la lutte contre le suremballage se tiendra au rayon vrac. Croyez-moi, il est tellement simple de passer aux sacs lavables ! On consomme énormément en vrac désormais, et le seul emballage que nous jetons en rentrant des courses chaque semaine réside en un petit tas d’étiquettes autocollantes. Une animation permettra de découvrir la juste répartition des prix sur le commerce équitable origine France. Enfin, un espace d’échange vous permettra de rencontrer des associations locales et trouver des réponses aux questions que vous pouvez vous poser.

À l’occasion des Biotonomes, j’ai eu la chance de recevoir un très joli coffret contenant des produits sains et bio, commercialisés par la Biocoop. Ainsi, le coffret contenait une boîte de lait de coco, un flacon de cannelle moulue, un sachet d’argile verte surfine, un pot de miel de Fleurs de Champagne, un bol et une cuillère en noix de coco (Urban Nature Culture). Deux recettes de soins maison accompagnaient ces produits. Finalement, prendre soin de soi au naturel peut se révéler très économique, dès lors que l’on fait preuve d’imagination. Il faut peu d’ingrédient pour prendre soin de soi de façon écologique.

Vous pourrez ainsi apprendre à réaliser un soin qui vous permettra d’éliminer les toxines de vos cheveux grâce à un mélange d’argile verte (qui absorbe, nettoie et purifie) et de lait de coco (qui nourrit et hydrate). Ce soin est idéal pour vous aider à éliminer les particules chimiques laissées dans vos cheveux, après des soins chimiques et des colorations. Sinon, vous pourrez vous concocter un peeling visage à base de cannelle et de miel. Parfait pour débarrasser son visage de la pollution laissée par les toxines, les particules fines et les métaux lourds.

Biocoop me fait l’honneur de vous faire gagner 3 coffrets Biotonomes afin que vous puissiez réaliser ces soins chez vous, à votre tour. Pour participer, il vous suffit de laisser un commentaire sous cet article, (et uniquement sur le blog hein) en partageant l’une de vos astuces pour réduire vos déchets au quotidien. Le tirage au sort aura lieu le 15 juin 2018 dans la soirée.

En attendant, n’hésitez pas à visiter le site des Biotonomes, qui fourmille d’idées pour consommer bio et devenir plus autonomes !!

ÉDIT DU 15/06/2018 :

Félicitations aux trois gagnantes qui remportent chacune une box Biotonome, en partenariat avec Biocoop. J’espère que vous en ferez bon usage :). Je vous envoie un email de ce pas.

Helsinki, notre sélection de guides de voyage (Finlande)

Je ne pensais pas qu’il existait si peu de guides sur la Finlande ou bien sur Helsinki. Nous nous sommes donc rendus à la Librairie du Voyage pour nous en assurer. Elle est située à Rennes, mais dispose d’une belle offre en ligne également. C’est donc officiel, il y a très peu de guide pour préparer un voyage en Finlande, et plus précisément à Helsinki.

Je vous propose les livres qui nous ont été utiles pour préparer notre voyage et surtout, en apprendre davantage sur Helsinki, la Finlande et ses habitants.

Cartoville, notre guide de référence

Comme à l’accoutumé, le premier guide à nous avoir permis de profiter pleinement de notre voyage est notre fidèle Cartoville des Éditions Gallimard. Je vous le dis à chaque voyage, mais il nous est toujours indispensable sur place. Tellement pratique qu’il ne quitte jamais notre sac à dos ou notre poche. On découvre toujours une merveilleuse adresse pour nous restaurer ! Il regorge de petites perles ! Avec lui, quelque soit la durée de notre séjour, nous avons un bel aperçu des visites incontournables de la ville que nous découvrons.

Destination Helsinki est un joli guide atypique

C’était la première fois que je m’offrais un guide de voyage réalisé par Caroline Gomez, dont j’aime beaucoup le travail ! Destination Helsinki m’avait transmis une image d’Helsinki, tellement fidèle à notre propre séjour sur place. L’accent est mis sur les jolies photographies. Les adresses sont succinctes. Mon seul regret ? J’aimerai qu’il y ait encore davantage de belles adresses à découvrir !!! D’ailleurs, nous avons rencontré ce guide à plusieurs reprises à Helsinki. Le travail de Caroline Gomez semble être très apprécié de la population nordique.

Le Petit Futé est très pratique pour réserver à l’avance

Je n’achète pas très souvent les guides de voyage papiers Le Petit Futé car généralement, je réserve nos hôtels via booking, avant même d’avoir commencé à feuilleter les guides. Je prends toujours un hôtel situé au centre de la ville, afin que tout soit facilement accessible à pied. Cependant, lorsque j’en ai l’occasion, j’achète la version numérique Le Petit Futé pour avoir les informations générales sur la ville que nous visitons comme la fiche technique, le mode de vie des habitants, les spécialités culinaires, les usages, les interdits, les précautions à prendre…etc. De plus, j’aime beaucoup les sections « littérature » et « cinéma » proposées dans ce guide. Pour notre dernier séjour à Stockholm, nous avions revu les films suédois Millénium qui se déroulent dans la capitale par exemple. Pour Amsterdam, nous avions relu Le journal d’Anne Franck. Ceci fait partie de notre préparation au voyage. Nous n’emportons jamais l’édition Le Petit Futé avec nous en voyage, sauf lorsque je dispose de la version numérique. Celle-ci reste disponible dans notre ordinateur, et nous la potassons dans le train en général pour mieux appréhender le pays où nous nous rendons.

Le lonely planet Finlande est idéal pour préparer son voyage

C’était ma première rencontre avec un guide lonely planet. J’avoue avoir été agréablement surprise. Ce livre,  emprunté à la bibliothèque des champs libres (Rennes), est très complet (351 pages). C’est une vraie mine d’or ! Un bémol malgré tout : le livre manque de cartes, c’est un peu difficile de se repérer. Il manque cruellement de photos également ! J’aime bien avoir un aperçu visuel des choses à faire, des jolis endroits typiques, etc. Il est très pratique pour préparer le voyage, et alimenter ma carte google map, mais j’ai préféré ne pas l’emporter en voyage. La ville d’Helsinki est bien détaillée et mise en avant dans ce livre, qui la présente en une cinquantaine de pages. Porvoo est également abordée. Enfin, le guide est réellement idéal pour préparer un road-trip. Je suis absolument ravie de l’avoir emprunté, il m’a été fort utile !

Le carnet de route Marcus spécial Finlande et Laponie est parfait pour préparer un road-trip

(crédit photo : www.aventurenordique.com)

Ce petit guide de voyage est composé de 120 pages. Étant totalement amoureuse des pays nordiques, j’ai à cœur de profiter de ma vie entière pour explorer le moindre recoin de ces merveilleux pays. Aussi, il me tarde de découvrir la Laponie. Ce livre aborde Helsinki en 12 pages. C’était donc insuffisant pour préparer notre voyage d’une semaine, mais j’ai choisi de l’emprunter à la bibliothèque des Champs Libres (Rennes) afin d’en apprendre davantage sur la Finlande. J’apprécie d’avoir une vue d’ensemble du pays où nous nous rendons. Il ne comporte pas d’adresses pour se restaurer ou boire un café. L’atout principal de ce livre : il propose 7 itinéraires de voyage, ce qui est très pratique pour préparer un road-trip. Peu de livre traite de la Laponie. J’étais donc ravie de tomber sur cet ouvrage, très bien construit et assez complet malgré tout. Nul doute que je reviendrai vers lui lorsque nous aurons besoin de préparer un séjour en Laponie.

Finlande, le guide le plus complet pour découvrir le pays

C’est le guide qui nous a été le plus utile, en dehors du cartoville. Il est tellement complet (329 pages) ! J’adore la collection Bibliothèque du Voyageur chez Gallimard ! Ce guide oscille entre un guide de voyage et un livre d’histoire, sans être rébarbatif pour autant. Il nous éclaire sur l’histoire du pays, très morcelée entre la Suède et la Russie. De nombreuses cartes ponctues l’édition. Tout y est expliqué : du traditionnel sauna au peuple Samis que nous avions découvert à travers une merveilleuse exposition au Fram à Oslo. Ce guide explore totalement le patrimoine finlandais. Nul doute qu’il nous resservira lors de nos prochains voyages dans ce superbe pays qui nous a tant plu ! Grâce à lui, nous avons eu envie de découvrir Porvoo, l’une des plus vieilles villes de Finlande. Aujourd’hui encore, cette escapade reste pour nous, un souvenir mémorable, que nous aimons nous remémorer régulièrement. J’aime me replonger dans cette édition régulièrement pour poursuivre notre exploration finlandaise et envisager nos prochains voyages : la Laponie, c’est certain, mais également les îles Åland. Il y a de très belles photos en double pages dans cet ouvrage, en plus de sujets d’actualités très intéressants comme la place des femmes et de la famille en général dans la société finlandaise. La culture finlandaise est également abordée. Un livre très complet je vous assure ! Probablement mon incontournable si je ne devais en retenir qu’un !

Helsinki vu par ses habitants

Si je dois être parfaitement honnête avec vous, nous avons acheté le guide de voyage Helsinki people make the city sur place. Nous ne l’avions donc pas pour préparer notre voyage. Il présente des habitants de la ville et leurs bonnes adresses. J’aime l’idée d’être initiée par les locaux. À Rome, une française nous avait indiqué une adresse de Pizzéria réputée être fréquentée uniquement par des italiens : PizzaRé. Effectivement, nous n’avions que des locaux, en pause déjeuner. Les pizzas étaient délicieuses, l’accent italien résonnait dans le restaurant. C’était un moment formidable ! Ce guide est chouette car on entre un peu plus encore dans les habitudes des finlandais, j’adore ça ! En voyage, on s’abandonne totalement aux habitudes et spécialités locales. On oublie nos repères et on se laisse vivre au rythme local, tout en accordant une grande importance à la culture proposée par la ville. On visite les monuments historiques, les musées, mais également les restaurants, les petits cafés, les jolies boutiques locales. Monsieur l’amoureux et moi faisons de l’adage « Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit » notre devise. Ce guide est parfait pour cela ! Grâce à lui, nous avons passé de très bons moments dans de vrais restaurants locaux comme le Sea Horse. Il y a des recettes à la fin de l’ouvrage pour s’initier aux spécialités locales comme les brioches à la cannelle (cinnamon buns). Par contre, il est écrit en Anglais.

Voilà, j’espère que cette sélection d’ouvrages vous sera utile pour préparer à votre tour votre voyage en Finlande ou bien qu’elle vous donnera l’envie de découvrir cette magnifique contrée.

Coup de coeur pour la râpe manuelle La bonne graine

J’ai récemment fêté mon anniversaire. Comme d’habitude, Monsieur l’amoureux a souhaité me faire plaisir en m’offrant un outil sur lequel je lorgnais depuis quelques semaines. Nous n’avions plus de robot multifonctions depuis plusieurs années. J’ai pris l’habitude d’utiliser un couteau et ça me va très bien. La cuisine de produits bruts et bio m’occupe beaucoup le soir (non non, je ne suis pas rétrograde, Monsieur l’amoureux ne cuisine pas le soir car il rentre tard du travail. Par contre, il est le seul à cuisiner le week-end ;)). Mais certaines recettes de cuisine nécessitent d’être un peu plus précis ou fin… Surtout lorsque l’on refuse en bloque les produits préparés du commerce. Nous avions donc commencé à regarder les robots multifonctions fabriqués en France. Un robot nous plaisait bien mais, d’une part, il coûtait cher, d’autre part, faire entrer un nouvel appareil en plastique dans notre nid ne m’emballait pas plus que ça… Puis, nous avons croisé la route de la râpe 4 tambours La bonne graine, au détour d’une vitrine de magasin spécialisé.

Son allure minimaliste nous a tout de suite beaucoup plus : faible encombrement, pas d’accessoires inutiles. Elle va directement à l’essentielle. La râpe manuelle est équipée de 4 tambours qui peuvent râper du parmesan, du fromage type emmental (on a testé ce week-end et c’est génial :)), des crudités type carottes râpés ou céleri (ça tombe bien, c’est justement la saison). Le dernier tambour permet de trancher finement. Nous l’avons testé le week-end dernier sur des betteraves et ça fonctionne vraiment très bien.

Cette râpe est fabriquée en France par La bonne graine, qui commercialise plusieurs râpes bien utiles comme une petite râpe à fromage ou une moulinette pour émincer finement les herbes aromatiques fraîches. Nous essayons désormais de privilégier le « Made in France »… C’est assez logique finalement de soutenir notre économie en consommant des produits fabriqués sur notre territoire. Et le prix est très satisfaisant : 39.90 €. Très loin des 200€ que nous nous apprêtions à débourser pour notre robot multifonctions. C’est un très bel outil, qui peut aisément rester sur le plan de travail, tellement il est joli. Son côté rétro n’est pas pour nous déplaire. Toutefois, il est bon de savoir que cette râpe La bonne graine se ventouse sur le plan de travail pour être bien stable. Notre plan de travail est nervuré, du coup, ça n’accroche pas du tout. Nous la ventousons donc sur notre plaque à induction ou bien dans une grande assiette en céramique. Changer de tambour une fois la râpe utilisée n’est pas évident car il faut réussir à dévisser la poignée tout en empêchant le tambour de tourner…c’est un coup de main à prendre.

Autre point qui m’embête un peu : sur la boîte, il est indiqué que les tambours et la râpe passent au lave-vaisselle. J’ai lavé le premier jour les tambours au lave-vaisselle, et quelques points de rouille sont apparus au niveau de la tige. Je dois bien reconnaître que cela m’a un peu déçu. Peut-être est-ce dû au vinaigre blanc que nous mettons à la place du liquide de rinçage dans notre lave-vaisselle ? Celui-ci fait pourtant bien briller les inox d’habitude. Je préfère donc désormais laver mes tambours à la main, et avec du vinaigre blanc malgré tout. Le vinaigre provoque une réaction qui dissout la rouille et la détache du métal. Une fois les tambours essuyés, plus de trace de rouille.

J’espère sincèrement que la jolie râpe 4 tambours La bonne graine va nous durer toute la vie :). Ma maman a toujours utilisé la même râpe manuelle Tellier pour râper ses carottes, et j’adore l’idée ! Il y en a marre de l’électroménager que l’on doit régulièrement remplacer. Investir dans du durable s’avère très économique sur le long terme. D’ailleurs, je vous recommande l’épisode de Cash Investigation sur le sujet si vous ne l’avez pas déjà regardé.

Et vous, accordez-vous de l’importance à la durabilité des équipements que vous achetez ?

Zéro plastique, zéro toxique par Aline Gubri

Connaissez-vous Aline Gubri ? Cette jeune femme de 22 ans m’épate ! Elle est une militante écologique du quotidien, diplômée d’un master environnement de la Sorbonne. Son blog Consommons sainement figure parmi mes favoris depuis mes premiers pas vers une vie plus écologique. Son livre Zéro plastique zéro toxique, paru aux Éditions Thierry Souccar et imprimé en France, est l’une des réponses que j’attendais.

La plupart du temps, nos proches nous questionnent et remettent en question notre choix d’une alimentation biologique. Je suis convaincue que je ne pourrai plus m’alimenter autrement. Quelque part, l’alimentation biologique est une sécurité supplémentaire pour lutter contre les scandales alimentaires qui surgissent régulièrement (je vous mets les liens vers deux articles pour nous rafraîchir la mémoire). Je n’entrerai pas dans le débat du bio de supermarché vs la véritable agriculture biologique, car, évidemment, tout le monde aimerait pouvoir s’alimenter au mieux pour sa santé, mais le bio du supermarché est déjà une bonne alternative à l’agriculture conventionnelle. Seulement voilà, notre souhait consiste également à moins polluer notre planète, avec des petits gestes du quotidien comme les courses zéro déchet par exemple. Nous ne sommes pas exemplaires, loin de là. D’ailleurs, personne ne l’est véritablement, et c’est normal (les mails, les blogs, les moteurs de recherche et les réseaux sociaux polluent énormément par exemple). La vie est exigeante. Mais tâchons d’être un peu bienveillants les uns envers les autres au lieu d’être perpétuellement dans la critique. Soyons constructifs. Chaque geste compte afin de préserver la planète pour les générations futures !

Aline nous propose 101 astuces et DIY pour parvenir à un quotidien plus sain et écologique. Et oui, en plus d’être bon pour l’environnement, mieux consommer est plus sain pour nous. Et je le vérifie chaque jour ! Déjà, en livrant une guerre contre le plastique (même si je ne parviens pas à l’éradiquer totalement…rien que la cuvette des WC est en plastique). Mais pas seulement. Je me retrouve beaucoup dans le livre Zéro plastique zéro toxique, qui est parfait pour débuter sur cette voie, ou bien chercher des axes d’améliorations.

L’ouvrage de 189 pages aborde plusieurs postes clés de notre quotidien : la cuisine, la salle de bain, les courses, le dressing, le ménage. Les loisirs et les enfants y ont également une place de choix. Je peux vous assurer que rien qu’en appliquant les conseils dans votre cuisine et dans votre salle de bain, vous ne sortirez pratiquement plus la poubelle et vous ferez de belles économies. C’est notre cas ! De nombreuses recettes permettent de fabriquer au lieu de consommer. C’est tellement plus économique ! Le livre est vraiment complet ! J’ai bien aimé retrouver Bénédicte Moret (Famille presque zéro déchet) qui préface ce livre. Leur travail est vraiment complémentaire. Enfin, j’ai beaucoup aimé l’introduction d’Aline. On y sent sincèrement son engagement et ça me plaît !

Bisettes !

 

La cuisine bio du quotidien par Marie Chioca

Marie Chioca est mon coup de cœur 2017. J’ai découvert cette talentueuse auteure de livre de cuisine un peu par hasard. L’été approchant, je souhaitais faire attention à ma ligne, voire perdre un peu de poids avant l’été tout en continuant de manger équilibré et fait maison. Quelle chance ! Marie Chioca concilie très bien ces deux problématiques. Elle est mère de famille nombreuse, et cuisine du fait maison, de façon saine et gourmande. Je me suis, depuis, offert son livre sur la boulange bio ainsi que celui sur la pâtisserie bio. Elle m’épate par ses techniques ultra professionnelles. Cela me rappelle un peu mes débuts en couture il y a quelques années. Désormais, c’est la cuisine qui me permet d’apprendre et d’expérimenter. Je cherchais donc des recettes faciles et de saison, compatibles avec les produits bio que l’on achète en vrac, à la Biocoop. Le livre La cuisine bio du quotidien répond parfaitement à mes attentes.

Tout d’abord, il est organisé par saison. Je le répète, c’est un élément essentiel à mon sens, dès lors que l’on cuisine des produits frais et locaux. Ensuite, les recettes ne sont pas spécialement végétariennes. Il y a un peu de tout. Des livres végétariens, j’en ai déjà plusieurs. Mais Monsieur apprécie de temps en temps un plat « comme les lentilles façon paysanne » (des lentilles, une saucisse fumée et des carottes). Il y a des plats principaux et des desserts parmi les recettes.

J’ai découvert des recettes économiques (comme la tarte à base de flocons d’avoine ou le gâteau de légumes) et d’autres, un tout petit peu plus coûteuses mais abordables (dans le bio, la viande est beaucoup plus onéreuse, on apprend donc à en manger moins souvent). À la fin de l’ouvrage, un index permet de repérer facilement les recettes sans lait, sans œuf ou sans gluten. J’adore les petites astuces ou conseils nutritionnels qui ponctuent régulièrement les recettes de ce livre de cuisine. Il est plein de bon sens, et les recettes sont simples tout en étant appétissantes ! Nous en avons déjà testé plusieurs sur mon compte Instagram. Ce livre a donc rejoint mes chouchous du quotidien !!!

Cet ouvrage explique vraiment bien que l’on peut nourrir une famille en mangeant bio et sain sans se ruiner, contrairement aux idées reçues. Il faut simplement accepter de faire quelques ajustements, modifier ses habitudes et s’accorder un peu de temps pour faire soi-même. Enfin, la Maison d’Édition Terre Vivante est engagée et ça me plaît énormément. Il s’agit d’une SCOP. Le livre est éco-conçu : le papier est issu de forêts gérées durablement (et ça prend tout son sens). Leurs livres sont également commercialisés par Scarabée Biocoop. En attendant, je vous invite à découvrir le blog de Marie Chioca, qui regorge de belles recettes !!!

Bisettes !

La Ferme des Rescapés sauve les animaux en détresse

Depuis 20 ans, une mère et sa fille viennent en aide aux animaux en détresse au sein d’une ferme située dans le Lot. La Ferme des Rescapés accueillent des animaux qui ont été abandonnés, maltraités, exploités, enfermés ou étaient destinés à l’abattoir. Leur association est reconnue d’intérêt général. Et c’est formidable !!! Depuis que j’ai entendu parler du combat incroyable que mène Verena Fieg et sa fille, je ne peux m’empêcher de penser à elles et à tous ces animaux sauvés. Je suis très sensible au bien-être animal. Régulièrement, je suis choquée et tellement affligée de constater que les violences envers les animaux sont de plus en plus présentes. Des actes de cruauté, qui restent malheureusement trop souvent impunis et qui me mettent hors de moi.  J’aimerai tellement pouvoir agir à mon échelle.

(Crédits photos : La Ferme des Rescapés)

Nous avons adopté un chat à la SPA de Redon pour belle-maman qui est exactement comme moi. Elle voulait adopter un chat depuis fort longtemps. Elle adore son chat et lui offre une vie tellement douce. Mais cette visite à la SPA m’a beaucoup marqué car chaque animal présent ce jour-là (et ils étaient nombreux) ne demandait qu’une chose : être aimé en retour. N’est-ce pas légitime ?! Je me sentais tellement mal de leur tourner le dos alors que nous avons tellement d’amour à offrir. Mais notre vétérinaire nous a déconseillé d’adopter un autre chat car Monsieur Chat a 11 ans et a toujours été habitué à vivre seul. Pourtant, ces animaux à qui l’on offre une seconde chance sont tellement reconnaissants. La grand-mère de Monsieur avait recueilli une chatte dont personne ne voulait. Elle lui était tellement reconnaissante de l’avoir recueillie qu’aujourd’hui encore, sa grand-mère s’en souvient avec tendresse. Les animaux de la Ferme des Rescapés sont disponibles à l’adoption. Mais il faut sincèrement avoir envie de leur offrir une belle vie. Ils ont déjà tellement souffert !!! Lorsque l’on adopte un animal, c’est pour toute la durée de sa vie. L’adoption ne se fait pas à la légère. L’animal n’est pas un bien dont on dispose. C’est une vie, un être vivant auprès duquel on s’engage à long terme. Et ça vaut pour tous les animaux !

Via le blog de l’association, j’ai découvert l’existence de fourrières mouroirs en Roumanie. Certains chiens sont sauvés de cet enfer chaque année grâce à la Ferme des Rescapés. C’est alors un gros travail qui commence pour Verena et sa fille. Ces animaux sont traumatisés et doivent réapprendre à faire confiance à l’homme au sein de la Ferme. Chacun à son rythme. Chaque année, des milliers d’animaux sont abandonnés au moment des congés d’été. Comment est-ce possible ? Comment peut-on laisser son fidèle compagnon derrière soi ? Je ne le comprendrai jamais ! Nous nous inquiétons pour Monsieur Chat au moindre bobo !!! Ma plus grande crainte est le temps qui passe car il vieillit et que chaque jour, je me dis que nous ne profitons pas suffisamment de sa compagnie (boulot, métro, dodo). Alors, l’abandonner volontairement ?! Jamais de la vie !

Si, comme nous, vous n’avez pas la possibilité d’accueillir l’un de ces rescapés, vous pouvez malgré tout soutenir le combat de l’association à travers des dons. Ils peuvent être financiers (désormais, Monsieur fait au minimum un don pour Noël et un autre pour mon anniversaire, c’est plus utile qu’un énième bien matériel, ça permet de sauver des vies !), ou matériels. Sachez que pour les dons d’argent, 66% des sommes versées peuvent être déduites de vos impôts. Personnellement, je préfère donner mon argent à cette association et soutenir des actions qui font bouger les choses dans cette société !!! Pour notre don effectué en décembre, nous avons donc un reçu fiscal conforme. L’association a régulièrement besoin de nourriture pour les animaux, de couvertures, de paniers, de jouets, de meubles, etc. Vous pouvez également vous porter volontaire pour donner un peu de votre temps. Prendre soin de tous ces animaux demande beaucoup de temps. Enfin, n’hésitez pas à parler de la Ferme des Rescapés autour de vous, à relayer l’information sur vos blogs et vos réseaux sociaux.

Réfléchissez bien à vos futurs projets d’adoption. Lorsque notre Monsieur Chat ne sera plus de ce monde (le plus tard possible, on est bien d’accord hein !!!), Monsieur et moi aurons à cœur d’offrir une nouvelle vie à l’un de ces rescapés. Quitte à aller le chercher dans le Lot ;). J’en profite pour remercier cette femme et sa fille pour leur combat du quotidien. Je suis tellement admirative et reconnaissante à la fois !!! Je ne sais pas pour vous mais ça fait un bien fou de constater que la bienveillance existe encore !!! Vous pouvez suivre le quotidien de l’association et les adoptions en cours sur Instagram, mais si vous êtes aussi sensible que moi, vous risquez de fondre et verser quelques larmes régulièrement…

Connaissiez-vous la Ferme des Rescapés ? Avez-vous recueilli un animal abandonné ou maltraité ? J’aimerai beaucoup avoir un retour de vos expériences.

Bisettes !

Cuisiner sainement et s’équiper durablement

Monsieur l’amoureux pourrait en témoigner, je suis très pénible en ce qui concerne notre alimentation. La qualité doit être au rendez-vous, et non, ça ne coûte pas beaucoup plus cher, dès lors que l’on peut prendre le temps de mettre la main à la pâte. Cela dit, vous pouvez acheter les meilleurs produits du monde, si vous les cuisinez avec des ustensiles nocifs pour votre santé, ils perdent grandement de leurs intérêts. Nous ne nous sommes pas équipés en un jour, car la qualité a souvent un prix. Pour tout vous dire, ça nous a pris à peu près 3 ans, et encore, ce n’est toujours pas comme j’aimerai. Mais c’est déjà un bon début pour cuisiner sainement.

Pour des raisons personnelles, nous avons du revoir nos équipements et faire la chasse à tout ce qui pouvait s’avérer toxique pour l’homme (les perturbateurs endocriniens, les matériaux réputés neurotoxiques, etc). Ce n’est déjà pas très sain si vous avez un système immunitaire qui fait son travail, mais lorsque ce n’est plus le cas, même les médecins vous recommandent de prendre quelques précautions. Ce ne sont pas les brochures gratuites qui manquent pour nous éclairer un peu sur le sujet.

L’inox est un matériau à privilégier pour la cuisson. Il doit être de qualité 18/10 (18 % de chrome, 10 % de nickel). C’est la meilleure qualité ! Il est reconnu comme un matériau stable, qui ne craint pas la cuisson et ne migre pas vers les aliments. Nous nous sommes offerts une batterie Beka en inox, avec les couvercles assortis. Les casseroles sont graduées, équipées d’un double fond inox. Je ne vais pas vous mentir, elles sont hors de prix mais elles sont réputées durer toute une vie. La qualité est professionnelle ! On voit clairement la différence. Nous les avions acheté en solde l’une après l’autre, après de longues recherches. Nous avons également un faitout tout inox de la même marque avec couvercle. Il est très pratique pour nos soupes de légumes quotidiennes et sa taille est parfaite pour aller dans le réfrigérateur. Si vous privilégiez des produits français, vous pouvez opter pour Cristel par exemple. Il y a trois ans, ce n’était pas une priorité pour nous, contrairement à l’heure actuelle.

L’acier et le fer sont également des matériaux sains pour la cuisson. Des marques françaises comme de Buyer, que nous aimons beaucoup à la maison, fabriquent des produits inusables, à condition d’être soigneux. L’acier et le fer demandent un peu plus d’entretien. Il faut culotter sa poêle la première fois, mais après, on découvre une façon de cuire totalement différente ! La poêle doit être lavée à l’eau chaude très rapidement et ne jamais tremper. Ce matériau est utilisé par les chefs pour obtenir une viande, caramélisée sur le dessus, et réaliser des sauces, à partir des sucs de cuisson, à tomber ! Personnellement, j’adore la couleur que prend notre poêle à pancakes en fer de Buyer (fabriquée en France) à chaque utilisation. On l’a acheté il y a bientôt deux ans. Elle témoigne de notre plaisir à cuisiner !

La fonte me rappelle ma grand-mère. Après tout, n’est-ce pas dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe ?! Trêve de plaisanterie, la fonte permet une cuisson douce. Elle est idéale pour laisser mijoter de bons petits plats et va sur tous les feux même l’induction. Elle passe également au four. Il existe deux sortes de cocottes en fonte : celles en fonte émaillées, et celles en fonte non émaillées. Privilégiez autant que possible la seconde. Les cocottes en fonte émaillée peuvent contenir des traces de plomb dans leur émail. Le principal inconvénient est son poids. La nôtre pèse très lourd. Ça ne nous empêche pas de stocker notre grande cocotte Chasseur (fabriquée en France et garantie sans plomb) dans un tiroir de casserolier. Attention à ne pas confondre la fonte avec la fonte d’aluminium.

Nous avons également une cocotte minute en inox, offerte par la grand-mère de Monsieur l’amoureux il y a des années. On s’en sert très souvent, mais apparemment, les vitamines ne résisteraient pas à la cuisson sous pression, à haute température.

J’espère que ce premier article, d’une petite série pour cuisiner sainement et s’équiper durablement, vous a plu. La prochaine fois, nous étudierons de plus près les matériaux à privilégier pour la cuisson au four.

Bisettes !

Ma santé, ma planète, mon budget

Vous rappelez-vous de mon livre préféré ? Je vous l’ai présenté sur le blog il y a quelques semaines, et c’est sincèrement la bible dont je ne pourrai plus me passer. Il s’agissait du livre Moins gaspiller, c’est pas sorcier. Croyez-le ou pas, Monsieur l’amoureux m’a offert un livre à Noël, qui a pratiquement réussi l’exploit de le détrôner ! Il s’agit du livre Ma santé, ma planète, mon budget. Pour être parfaitement honnête, ils sont désormais en tête de mes livres indispensables ! Cerise sur le gâteau, Monsieur l’amoureux a soutenu la parution de cet ouvrage en mon nom en faisant un don sur le site Ulule, avec contrepartie. J’aime beaucoup l’idée ! Soutenir un projet qui a du sens et qui le mérite !

Car croyez-moi, le livre Ma santé, ma planète, mon budget mérite de nombreuses éloges. D’une part, le contenu est dingue ! Il est dense, et étayé grâce au travail minutieux des auteurs. Clémence Pouclet et Évangéline Barbier sont éco-conseillères (conseillères et formatrices en santé environnementale). Elles ont co-fondé l’Avis en Vert. Auxane Maurille-Biron anime un éco-logement à l’Adile de Vendée. Vous l’aurez compris, ces jeunes femmes maîtrisent leur sujet, et ça se vérifie tout au long du livre. Je n’ai même pas terminé sa lecture tellement il est riche en contenu.

Je suis plutôt satisfaite, car, à la lecture de cet ouvrage, je m’aperçois que nous appliquons déjà pratiquement tous les conseils en matière d’alimentation, d’hygiène corporelle et de réduction des déchets. L’un des domaines auquel je m’attaque depuis quelques semaines est l’habillement. Monsieur l’amoureux a un dressing plutôt minimaliste. C’est loin d’être mon cas, mais ça le deviendra avec le temps. Le reportage Cash Investigation sur le coton a fini de me convaincre. Depuis, je m’étais beaucoup documentée pour identifier les matières saines et écologiques à privilégier en hiver ainsi que des marques de slow fashion. En passant en revue mon dressing, j’ai découvert qu’il était pratiquement dépourvu de laine, mais riche en acrylique (dérivé du pétrole…hum hum !). « Plus insidieux, les textiles acryliques dans une machine à laver relarguent une grande quantité de fibres synthétiques, beaucoup plus que le coton, mais avec des conséquences nocives pour les milieux aquatiques. Les stations d’épuration ne sont pas capables de filtrer ces microfibres dans l’eau » (source : Wikipédia). Vive les matières naturelles !!!

De la même manière, nous avions déjà banni les bougies IKEA et de toutes marques qui ne soient pas clairement identifiées en cire d’abeille ou en cire de soja certifiée sans OGM. Fuyons les substances cancérigènes, peut-être agréablement parfumées, mais tellement nocives pour nos proches et nos animaux de compagnies ! Nous étions loin d’imaginer toutes les possibilités d’actions dont nous disposions pour améliorer notre environnement intérieur.

Les jouets, par exemple, sont un véritable problème pour les petits, dès lors qu’ils sont sélectionnés sans précaution particulière. À Noël, j’ai fais en sorte de n’offrir que des jouets sains et écologiques, par conviction écologique d’une part, mais aussi parce que la santé de nos proches m’importent autant que la nôtre. C’est difficile d’aller à l’encontre des attentes des enfants, et même des parents. Mais lorsque les choix sont faits avec bienveillance, ils sont très bien accueillis. Il faut accepter de sortir des schémas imposés par les grandes marques qui dominent le marché du jouet. La gamme de jouets, écologiques et/ou sains, disponible est de plus en plus grande. J’ai été très surprise ! Sincèrement !

Des recettes complètent les nombreux conseils et bonnes adresses ! En résumé, vous l’aurez compris, je suis conquise par mon cadeau de Noël. Le livre Ma santé, ma planète, mon budget mérite vraiment de se faire connaître. Personnellement, je suis convaincue qu’à notre échelle, on peut, à forces de connaissances, enrayer et changer la société de consommation telle qu’elle est aujourd’hui. Transmettre les bons gestes aux futures générations ! Cette société peut devenir celle qui force les grandes entreprises à prendre et respecter des engagements écologiques ! Consommer c’est voter ! Essayons de nous en souvenir le plus souvent possible ! Récompensons les entreprises qui font de leur mieux pour agir au quotidien à travers leur production responsable et boycottons celles qui détruisent la planète à petit feu et exploitent la misère humaine !!!

Bisettes !

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